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Hommage au Dr Antoine Victor Fernainé

Salut l'Antoine. Que tu me manques, c'est peu dire. Je t'avoue que je n'en reviens pas encore, un an après ton départ, de ne pas entendre ta voix chaque samedi de l'année. Le souvenir de ta vie bien remplie hante toujours mon esprit du fait de tout le bien que tu as fait humblement, modestement et discrètement autour de toi et dont on n'a été au courant que par un article du New York Times. Je ne peux oublier l'hommage que t'a rendu la ville de New York. Je te remercie pour tout cela et je suis heureux de la répercussion qui en découle sur moi et ma famille et de l'honneur qui rejaillit sur nous. Tu as été toute ta vie un perfectionniste jusqu'à aller choisir ta dernière demeure dans un cadre féeriquement verdoyant en face du lac. Puisses-tu trouver le repos éternel dont tu avais tellement besoin après ta longue lutte contre la pernicieuse maladie, sans jamais te plaindre en continuant à vivre ta vie et à travailler jusqu'à ton dernier souffle, que tu as rendu sans m'attendre quelques heures, le temps d'arriver vers toi. Tu es parti entouré de ceux pour qui tu t'es toujours sacrifié, à l'instar de notre pauvre père dont nous avons hérité les gènes de l'honnêteté, de l'intégrité, du don et du sacrifice de soi. May n'a plus ton épaule pour s'y appuyer, mais il lui reste les épaules de ceux que vous avez procréés et dont tu peux être fier. Georges et Henry sont des personnes exceptionnelles. Ma modestie, mon humilité, ma discrétion et surtout la décence ne me permettent pas de faire de l'anniversaire de ton décès une manifestation mondaine, quelle qu'elle soit et qui peut être reportée afin de laisser nos pensées aller vers toi. Mon âme est endeuillée, mon cœur est triste et mes yeux larmoient. Je n'ai que mes prières pour toi et elles sont quotidiennes afin que ton âme rejoigne les justes dans l'éternité.
À bientôt l'Antoine, le frère, l'ami, le conseiller...

Émile FERNAINÉ

* * *

Émile Victor Fernainé et sa famille ont participé aux prières récitées en l'église Saydnaya offertes à la mémoire du souvenir annuel du décès de son frère, le regretté Antoine Victor Fernainé, que Dieu ait son âme. Nous vous prions et vous remercions de bien vouloir avoir une pieuse pensée en ce jour de mémoire.

Salut l'Antoine. Que tu me manques, c'est peu dire. Je t'avoue que je n'en reviens pas encore, un an après ton départ, de ne pas entendre ta voix chaque samedi de l'année. Le souvenir de ta vie bien remplie hante toujours mon esprit du fait de tout le bien que tu as fait humblement, modestement et discrètement autour de toi et dont on n'a été au courant que par un article du New York Times....