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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Photo Roland Ragi

Nocturne à Douma

Tous les amis ont mis le cap sur Douma pour découvrir la nouvelle demeure libanaise de Kamal Mouzawak et de Rabih Kayrouz, et partager une fiesta bien arrosée. Au menu, la dabké, la tablé, le pilon et le mortier (pour la kebbé de Suzanne Doueihy); une généreuse cuisine made by Tawlé, le Jay (Thaï) et Olivier Gougeon (villa Clara) qui faisait cuire son sanglier au barbecue ; deux Djettes, Leila et Câline, envoyaient leurs sets (à la pêche d'enfer) chauffer le dance floor et faire gigoter les villageois dans leur lit! Deux dynamites qui ont secoué les petites habitudes nocturnes de Douma ! Parmi les invités, l'équipe parisienne de Rabih, ainsi que Roalla Hoss, Gilles Khoury, Élie et Hoda Baroudi, Maria Ossaïmi, Ziyad Makhoul, Médéa Azouri, Milia Maroun, Rania Sarabki, Georges et Carole Shoucair, Amira Solh, Khalil Joreige et Joanna Hadjithomas, Karen Chekerjian, dont l'expo solo à Miami a reçu les critiques dithyrambiques de la presse étrangère, pour ne citer que Telegraph, Wallpaper, Corriere della Serra et Design Applause. Étaient également présents Tony et Janine Maamari, Janane Mallat, Bernard et Nathalie Khoury, Marwan Hamza, Isabelle Eddé, Anthony et Raya Nahas, Rachad et Raya Dernayka, Mazen et Sarah Hakim, Karim Ghattas, Makram Bitar... La liste est longue. Il y avait en effet quelque 200 convives dont un bon nombre a choisi de passer la nuit sur place. L'hôtel affichait complet. Le lendemain rebelote pour un copieux brunch chez Rabih et Kamal, et une petite promenade dans le village classé patrimoine national, avec ses 240 maisons traditionnelles. Puis, la démarche traînante des lundis matin pour aller au boulot, ils ont repris la direction de Beyrouth !
Avec ses sept chambres à coucher, la vieille bâtisse, baptisée Beit Douma, est aménagée en une maison d'hôte ou en un espace à louer pour des événements.

 

 

The One i love...

L'été est la saison des festivals. On l'aura remarqué ! Les deux ministres Michel Pharaon et Rony Araiji ne savent plus où donner de la tête. Ils sont partout. En tout cas, ils étaient à Baalbeck et Beiteddine.
De grâce, plus de fleurs aux artistes. Vendredi soir, les vedettes de Ilik ya Baalbeck ont noyé le public du front row de leurs bouquets. À Beiteddine aussi, Juan Diego Florès les a offerts à Rose-Mary Sabbagha et Maria Hélou ! Offrez plutôt des bouteilles de champagne. Les bouchons qui sautent, les bulles qui jaillissent sont tellement plus festifs et merveilleusement rafraîchissants pour doucher le
public en ce temps de canicule...

Côté Héliopolis
Cela a très bien démarré. Le cocktail dînatoire, qui a suivi le spectacle, s'est déroulé au cœur de la cité antique, illuminée par une superlune bien plus grande et plus belle que d'habitude. C'était magique. La table libanaise concoctée par Tambakji (le resto de Nada Hraoui, à Zahlé) a réuni artistes, compositeurs, sponsors et un nombre d'invités, notamment le président Hussein Husseini, les anciens ministres Khalil Hraoui et Sélim Wardy, ainsi que les ambassadeurs d'Espagne, des Pays-Bas, de Belgique, d'Autriche et du Cananda. Présents aussi, Mouna Hraoui, Leila Solh, Hoda Siniora, Émile Rahmé, Marwan et Mona Farès, Bachir Khodr, président de la municipalité de Baalbeck, Lucien Lteif, Sarah et May Salem, Chadi et Zeina Karam, Michèle de Freige, Maya de Freige, Amal Watt, Raphaël Debbané, Gaby et Mimi Tamer, Béchara et Rita Nammour, Roger et May Tohmé, Walid Moussallem, Rima Chéhadé, Bouchra Kanso, Joe et Myriam Asseily, et encore... Tout ce beau monde a trinqué jusqu'à une heure du mat, avant de reprendre le chemin de Beyrouth, de Faqra, ou encore de Tarchich-Zahlé-Rabieh (à l'instar de Vivianne Debbas). Pour sa part, l'ambassadrice d'Espagne ainsi que Marie-Hélène Gougeon et un groupe d'amis ont poursuivi la fête dans l'annexe de l'hôtel Palmyra, chez Ali et Rima Husseini. Le guitariste espagnol qui les accompagnait a joué jusqu'à 5h du matin avant de s'endormir sur un fauteuil du bar. Aucune chambre n'était disponible. En effet, les établissements hôteliers de la ville affichaient complet.
Pendant cinq jours, les musiciens et les artistes ont déambulé dans les rues menant au site archéologique, et les après-midi, le café Taha était bondé et les discussions allaient bon train entre Rafic Ali Ahmad et les habitants. Même Fadia Tomb a choisi un figaro et une maquilleuse de Baalbeck pour la coiffer et la mettre en beauté... Baalbeck, comme au bon vieux temps ?

Côté Beiteddine
Entre deux arias, Juan-Diego Florès carburait à l'espresso et visionnait l'enregistrement de sa prestation sur scène, cherchant toujours « the great quality ». Ensuite, au cocktail dînatoire qui a regroupé un grand monde, il était trop cool, trop génial. Avec un engouement réel, il a claqué la bise à pas mal de fans avant de se plier avec grâce à une longue séance de dédicaces et de photos. Puis avec la sexy soprano Joyce Khoury, ils ont pris ensemble plusieurs selfies canon. Parmi les présents à ce cocktail, les ministres Waël Bou Faour, Akram Chehayeb, Ramzi Joreige, Alice Chaptini, les anciens ministres Nehmé Tohmé, Raymond Audi, Tarek Mitri, Ibrahim Najjar, les ambassadeurs Nawwaf Salam (avec Sahar), Nagi Abi Assi, ainsi que les ambassadeurs d'Autriche, d'Espagne et de Pologne, Raya Daouk, Myrna Bustany, Tony et Janine Maamari, Alice Zein, Dory Chamoun, Mona Chammas, Rosette Debbas, Mohammad et Mayada Matar, Claude Kanaan, Nada Le Cavelier, Mona Doumit, Joumana Yarak, etc.
Pour the indie rock singer David Gray et son groupe de musiciens, le programme était tout autre. Déjeuner chez Liza ; dîner avec Nagib et Ola Joumblatt et leur bande d'amis au Seven Sisters, le nouveau concept lounge/club au Beirut Waterfront. Il a aussi fait la crêpe sous le soleil, en passant une journée au Lazy Bee, à Jiyeh. Résultat : D.G. a affiché un teint écrevisse à son concert de samedi. Mais il était simply happy !

 

Ministre sous surveillance

Habitués à le voir sur le petit écran, ils avaient mis quelques secondes à le reconnaître. Mais vu les deux motards, le cortège de voitures et le déploiement des body-guards, il n'y avait plus de raison d'hésiter : le ministre de l'Intérieur était venu, en chair et en os, partager avec sa fille et son petit-fils une veillée du feu de camp, organisée à Khilé, Dhour el-Choueir, par la société Beyond Learning de Hammad Sioufi. Le Sharewood Camp réunissait ce soir-là 300 enfants et leurs parents, dont Michel et Linda Doueihy, le juge Kamal Nassar (et Rafif), Samih et Jamal Ajrouch, Aziz et Zeina Moussawer, Mazen et Sima Abou Chakra, Rana Karaki, Waël Kabbani, Amer et Jihane Abdel Malak, Rania Habbal, Rabih et Carine Farsoun, Oussama et Rolla Sinno, Mohammad et Manal Chéhab, Nayla Takieddine et beaucoup d'autres... Mais on raconte que les parents n'ont pas apprécié le cigare au bec du ministre Nouhad Machnouk. Pollution en pleine forêt ? Phobie d'un incendie ? Ou tout simplement mauvais exemple pour les jeunes? En tout cas, Nouhad Machnouk a joué avec le feu. Et personne n'a osé protester. Pourtant, les gens auraient dû. On sait que le ministre Machnouk a le sens civique poussé. Il aurait obtempéré !

 

ditavonbliss@hotmail.com

Nocturne à Douma
Tous les amis ont mis le cap sur Douma pour découvrir la nouvelle demeure libanaise de Kamal Mouzawak et de Rabih Kayrouz, et partager une fiesta bien arrosée. Au menu, la dabké, la tablé, le pilon et le mortier (pour la kebbé de Suzanne Doueihy); une généreuse cuisine made by Tawlé, le Jay (Thaï) et Olivier Gougeon (villa Clara) qui faisait cuire son sanglier au...

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