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Culture - Festival de Jounieh

L’Arménie au cœur, Magida chante la liberté

Magida el-Roumi entourée de danseurs folkloriques pour un hommage à l’Arménie.

Après un méga feu d'artifice ayant illuminé toute la baie, l'inauguration en trombe du Festival de Jounieh s'est poursuivie avec panache durant le week-end avec un concert très attendu par les milliers de fans de la diva Magida el-Roumi. Au stade Fouad Chéhab, il n'y avait pas une seule chaise vide, plus de 5 000 personnes ayant fait le déplacement – certains venant de différents pays du monde arabe – pour assister au concert estival annuel de « al-Magida », comme on la surnomme de plus en plus. Sous l'épais caftan blanc serti de broderies cristallines signé Georges Hobeika et la forte lumière des projecteurs, la soprano était en nage. Mais c'est la chaleur des applaudissements qui s'est fait le plus ressentir, quand ont retenti dans la baie les classiques Kalimat, Matrahak bi Albi et Ya Beyrouth. Des airs éternellement lyriques, des mots à la poésie immortelle. Et une nouveauté, intitulée La Liberté, écrite spécialement pour le Festival de Jounieh. Sans oublier une magnifique chanson dédiée au pays de Sayat Nova, à l'occasion du centenaire du génocide arménien. Entourée de danseurs arméniens traditionnels, Magida a affirmé que c'est « le moins qu'elle puisse offrir à ce peuple de survivants pacifiques et d'artistes, qui ont porté leur pays dans leur cœur partout dans le monde... ».

Après un méga feu d'artifice ayant illuminé toute la baie, l'inauguration en trombe du Festival de Jounieh s'est poursuivie avec panache durant le week-end avec un concert très attendu par les milliers de fans de la diva Magida el-Roumi. Au stade Fouad Chéhab, il n'y avait pas une seule chaise vide, plus de 5 000 personnes ayant fait le déplacement – certains venant de différents pays...

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