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Liban - Les archives racontent...

Au fond de ce gouffre, à Antélias, des eaux qui peuvent aider à alimenter Beyrouth

Dans « L'Orient » du vendredi 4 juillet 1969

À l’entrée du nouveau gouffre d’Antélias : 300 mètres plus bas, un tiers de mètre cube-seconde.

Deux membres du Spéléo-Club libanais – Sami Karkabi et Georges Srouji – aidés de deux spéléologues anglais – John Middleton et Bill Woodward – viennent de découvrir dans une carrière de pierre, un peu au-dessus de Fouar Antélias, à 300 mètres sous terre, une rivière souterraine dont le débit (un tiers de mètre cube-seconde) est égal au tiers de celui des eaux de Jeïta, à l'étiage.
M. Karkabi nous a déclaré hier, alors qu'il s'apprêtait à redescendre sous terre avec son équipe :
« En mars dernier, tout à fait par hasard, les travaux dans la carrière avaient révélé la présence d'un gouffre. Nous avions aussitôt entrepris de l'explorer, assez superficiellement cependant – un lac d'eau en occupant le fond. Hier, le lac étant presque à sec, nous sommes redescendus dans le gouffre. En l'explorant, nous avons découvert cette rivière souterraine que nous avons suivie sur une longueur de 200 mètres. »

Deux membres du Spéléo-Club libanais – Sami Karkabi et Georges Srouji – aidés de deux spéléologues anglais – John Middleton et Bill Woodward – viennent de découvrir dans une carrière de pierre, un peu au-dessus de Fouar Antélias, à 300 mètres sous terre, une rivière souterraine dont le débit (un tiers de mètre cube-seconde) est égal au tiers de celui des eaux de Jeïta, à...

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