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Liban - Routes

Les FSI lancent lundi la troisième étape du nouveau code

La troisième étape du nouveau code libanais de la route sera lancée le 1er juin et s'achèvera le 31 juillet, ont annoncé hier les Forces de sécurité intérieure (FSI).


Après une première étape portant notamment sur les infractions par abus d'alcool et excès de vitesse, la deuxième étape, inaugurée le 1er mai, a vu essentiellement la mise en œuvre de sanctions sur les nouvelles infractions établies par le nouveau code de la route et qui n'étaient pas mentionnées dans l'ancien code, datant des années 1960. Il s'agit notamment du non-port de la ceinture de sécurité sur les sièges avant, du non-respect des feux de signalisation et des sens interdits, de conduite dangereuse, d'usage du téléphone portable au volant, du stationnement en double file gênant la circulation ou de l'absence de plaques d'immatriculation à l'avant ou à l'arrière du véhicule. Les conducteurs de moto et leurs passagers ont également commencé à être sanctionnés depuis le début du mois de mai pour le non-port du casque.
Durant les mois de juin et de juillet, pour cette troisième étape, les FSI sanctionneront, en sus des infractions déjà mentionnées, toutes les infractions figurant dans l'ancien code de la route et qui figurent également dans le nouveau, mais avec un montant d'amendes supérieur.


Une source autorisée au sein des FSI a assuré hier à L'Orient-Le Jour qu'une quatrième étape est envisageable pour que le code de la route soit entièrement appliqué, mis à part les éléments qui nécessitent l'adoption de décrets ministériels comme le système de déduction de points.
Certaines infractions, par ailleurs, comme le non-port de la ceinture de sécurité sur les sièges arrière, ne devraient pas être pénalisées de sitôt. La première évaluation du nouveau code de la route révèle une nette diminution du nombre des victimes sur les routes, indique la même source.

 

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Après une première étape portant notamment sur les infractions par abus d'alcool et excès de vitesse, la deuxième étape, inaugurée le 1er mai, a vu essentiellement la mise en œuvre de sanctions sur les nouvelles...

commentaires (4)

n'importe quoi

maha el hajj

14 h 00, le 30 mai 2015

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Commentaires (4)

  • n'importe quoi

    maha el hajj

    14 h 00, le 30 mai 2015

  • Agréable surprise ...il y avait donc un code de la route avant....! c'est drôle je m'en étais pas aperçu...

    M.V.

    09 h 49, le 30 mai 2015

  • Toute cette histoire est une blague car Presque personne ne connait le code de la route et specialement les agents. Les gens continuent de bruler les feux rouges et de conduire en envoyant des textos ect....

    Georges Zehil Daniele

    08 h 14, le 30 mai 2015

  • Imposer l'application du code de la route aux citoyens est une heureuse chose. S'y soumettre est un devoir de la part des usagers de la route. Mais qu'en est-il de la responsabilité de l'Etat vis a vis des routes? À titre d'exemple, l'axe routier Antelias-Bikfaya demeur dénué de lignes de séparation, truffé de trous et de bosses, sans éclairage. Que se cache-t-il derrière le laxisme de l'administration ? Pourquoi cette indifférence vis a vis de cette voie routière si importante? Que font les députés du Metn? Òu sont-ils? Ils encaissent leurs salaires payés de nos poches et sont incapables de faire bouger une question aussi importante car cette route est dangereuse surtout la nuit dans l'obscurité et a emporté son lot de victimes dans leur totale indifférence. Députés de Metn, faites votre devoir, restaurez et éclairez au plus vite la route de Bikfaya, c'est une priorité.

    Dounia Mansour Abdelnour

    06 h 28, le 30 mai 2015

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