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Liban

À Bkerké, les 95 ans du patriarche Sfeir

Le patriarche Sfeir coupant son gateau d’anniversaire sur lequel a été écrit un souhait de longue vie. Photo Ani

Le patriarche Nasrallah Sfeir a célébré hier son 95e anniversaire au cours d'une cérémonie organisée à Bkerké. Le patriarche maronite Béchara Raï a parrainé la célébration qui s'est tenue en présence de l'ambassadeur libanais à l'Unesco Khalil Karam, du président de la Fondation Nasrallah Sfeir, Élias Sfeir, de nombreuses personnalités religieuses, de plusieurs évêques et des membres de la famille du patriarche Sfeir. Dans son allocution, Élias Sfeir a énuméré les qualités du cardinal Nasrallah Sfeir, « cœur aimant et humain, intellect lumineux, et berger soucieux de préserver l'héritage de ses prédécesseurs et l'histoire de son peuple croyant, solide et attaché à sa terre et à sa patrie, porteur d'un message partout dans le monde ».
De son côté, le patriarche Sfeir a remercié tous ceux qui ont pris part à la cérémonie. « Vous avez voulu, une nouvelle fois, m'entourer de votre amour à l'occasion de mon 95e anniversaire, a-t-il dit. Chaque jour, j'ouvre mes yeux pour remercier Dieu de ce cadeau. » Souhaitant au patriarche Raï de poursuivre « sa laborieuse et longue mission », le patriarche Sfeir a affirmé que « les maronites portent un message et assument une responsabilité ». « Ils suivent la voie dessinée par leur patriarcat et leur Église depuis 14 siècles et symbolisent la présence chrétienne en Orient, une présence dont il faut saluer la foi et le sens du pardon face aux difficultés, aux crises et à la persécution », a ajouté le patriarche, qui a demandé aux participants de ne pas l'oublier dans leurs prières.
Pour sa part, le patriarche Raï a mis l'accent sur l'amour que portent les Libanais du Liban et de la diaspora au patriarche Sfeir. « Votre présence à Bkerké est comme celle de Dieu, Lui qui conduit la barque en pleine mer. C'est de vous que nous prenons notre force », a-t-il souligné.

Le patriarche Nasrallah Sfeir a célébré hier son 95e anniversaire au cours d'une cérémonie organisée à Bkerké. Le patriarche maronite Béchara Raï a parrainé la célébration qui s'est tenue en présence de l'ambassadeur libanais à l'Unesco Khalil Karam, du président de la Fondation Nasrallah Sfeir, Élias Sfeir, de nombreuses personnalités religieuses, de plusieurs évêques et des...

commentaires (3)

Le grand patriarche maronite ! Le grand trésor de l'Eglise maronite. Le visage le plus noble de cette Eglise.

Halim Abou Chacra

16 h 44, le 19 mai 2015

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Commentaires (3)

  • Le grand patriarche maronite ! Le grand trésor de l'Eglise maronite. Le visage le plus noble de cette Eglise.

    Halim Abou Chacra

    16 h 44, le 19 mai 2015

  • IL 3IMIR KILLOU YIA GRAND PATRIARCHE !

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 21, le 19 mai 2015

  • Cette Maronifornie est comme une bête barque trouée "qu’abandonnèrent ses haleurs". Le fait est que la morosité qui gagne à considérer la désintégration de cette Moûttassarifïyâh, s’apparente à celle du Batrak Sfééér pleurant ses rameurs disparus ! A l’instar de ceux de ces maronitiques yîîîh lorsqu’ils descendaient ; on s’en souvient mahééék ; une Qâdîschâh impassible. Que ce boutre soit ivre comment en douter ? Et que les vagues sur lesquelles il navigue soient de plus en plus conFessionnalisées, chacun l’admet. Sans pour autant réussir à imposer le raisonnable qui siérait, tant il est vrai que ce sectarisme "minorisé" est une maladie hyper contagieuse. Dans ces cas de danger de naufrage, "il faut que tout le monde puisse tirer sur les rames !" s’écrie, après avoir passé le premier son sauvetage de gilet, ce vieux loup de mer Râëéh, celui qui "fluctuat nec mergitur" en effet ! Mais, pardi, ce "tout le monde" c’est qui ? Et dans quel sens ramer, sans être gêné par le vent contraire d’intempestifs remous ou de courants fakkîhdio-bääSSyriens forts contraires ? Quoi qu’il en soit, ce boutre crevé et éventré "maronitisé" tangue à donner aux Chrétiens libanais sinon la nausée, du moins des oppressantes bouffées bääSSdiotes et/ou fakkîhiranàRienisées. Car, quel que soit l’épilogue, un colmatage ou une voie d’eau cette fois dévastatrice, cette Maronifornie en sortira encore un peu plus avariée ; et ce dans tous les sens du terme et de tous les côtés. Yâ hassértéééh !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    04 h 26, le 19 mai 2015

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