Rechercher
Rechercher

Lifestyle - Pendant ce temps, ailleurs...

Amal côté cour et Amal côté ville

Mme Clooney entre vie glamour et défense des droits de l'homme.

Plaidant la cause de l’ancien président des Maldives avec l’épouse de Mohammad Nasheed. Brendan Smialowski/AFP

«Nous sommes ici pour présenter notre dossier et pour mettre l'accent sur le rôle que peut jouer le gouvernement américain pour faire bouger la justice. » Ainsi s'exprimait, le week-end dernier au National Press Club à Washington, l'avocate vedette des droits de l'homme, Amal Alameddine Clooney. Elle était venue demander la libération de l'ancien président des Maldives, Mohammad Nasheed, qui vient d'être condamné à 13 ans de prison, officiellement pour « terrorisme ». Et Mme Clooney d'ajouter : « C'est un prisonnier politique qui a été condamné à tort à l'issue d'un simulacre de procès. Il est toujours un personnage populaire et son arrestation a provoqué des manifestations en sa faveur à Malé, capitale des Maldives. Nous n'aurons pas de répit avant d'obtenir sa libération. » À noter que Nasheed est également président du Parti démocratique maldivien et un militant des droits de l'homme.
À son arrivée à Washington, en compagnie de l'épouse de son client, Leila Ali, Amal Clooney avait d'abord rencontré des sénateurs américains. Elle leur a exposé de vive voix le traitement illégal infligé à Mohammad Nasheed, dans l'intention d'obtenir leur appui en sa faveur, auprès de l'actuel président des Maldives, Abdallah Yameen. Dans l'après-midi, on la retrouve au National Press Club, s'adressant sur le même sujet aux médias américains et étrangers.

 

(Lire aussi: Amal Alameddine-Clooney ajoute une nouvelle corde à son arc : Columbia University)

 

Professionnelle à Washington et glamour dans la Grande Pomme
Au cours de cette journée washingtonienne purement professionnelle, l'avocate Amal arborait un simple mais élégant ensemble veste-pantalon bleu marine et des escarpins en daim d'une teinte plus claire. Elle arrivait de New York où, la veille, elle et son célèbre époux avaient dîné dans un grand restaurant de la ville en compagnie de ses parents, Ramzi et Baria Alameddine, et de sa sœur Tala. Cette dernière avait eu les honneurs de la presse de la Grande Pomme pour sa ressemblance avec sa désormais très célèbre sœur et son allure très in.
Ce soir-là, la belle Amal arborait une robe noire imprimée de grosses fleurs blanches soulignée à la taille d'une bande rouge. Une création d'Alexander McQueen. Aux pieds, des sandales signées Giambattista Valli. Puis, au retour de Washington, déjeuner avec des collègues en manteau bleu foncé et blanc et escarpins blancs. Le soir, pour aller au théâtre, elle apparaît en robe courte en dentelle ivoire et manteau en daim couleur Camel. Du glamour sur toute la ligne.
Toute la famille était venue voir George Clooney à New York en plein tournage du film Money Monster, mis en scène par Jodie Foster, dans lequel il campe une personnalité influente du petit écran doublé d'un gourou de la finance. Il partage l'affiche avec son amie Julia Roberts.
À la fin de ce week-end chargé, Amal Clooney a revêtu son troisième costume, celui de professeur de droit à l'université de Columbia où elle a été récemment engagée. À faire pâlir le Tout-Hollywood. Et le Tout-Beyrouth...

 


Pour mémoire

L'Égypte dément avoir interdit son territoire à Amal Clooney

Menaces d'arrestation en Egypte : mise au point d'Amal Clooney

Clooney, le gendre idéal, intronisé en bonne et due forme

 

«Nous sommes ici pour présenter notre dossier et pour mettre l'accent sur le rôle que peut jouer le gouvernement américain pour faire bouger la justice. » Ainsi s'exprimait, le week-end dernier au National Press Club à Washington, l'avocate vedette des droits de l'homme, Amal Alameddine Clooney. Elle était venue demander la libération de l'ancien président des Maldives, Mohammad...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut