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Culture - À voir

Manu Dibango et le gang « Soul Mokassa » à Beyrouth

Une grosse pointure de la world foule les planches du MusicHall demain dimanche, dans le cadre du festival Liban Jazz, en collaboration avec Éleftériadès.

Manu Dibango.

« Le père de la world music ». Cette étiquette colle aux « beats » de Manu Dibango depuis que le saxophoniste camerounais a sorti un petit bijou d'ovni musical en 1972 intitulé Soul Mokassa. Initialement en face B d'un enregistrement réalisé pour la Coupe d'Afrique des nations et considéré comme le premier album disco, ce morceau ne tardera pas à enflammer les dance floors new-yorkais puis à faire le tour du monde et emporter Manu dans son sillage. Depuis, plus de 23 artistes mondiaux (dont Michael Jackson sur l'album Thriller, ou Rihana avec son Please Don't Stop the Music) auront repris ou samplé ce titre légendaire, au refrain entêtant « Ma-mako ma-masa ma-ko ma-kossa ». Soixante albums plus tard, l'ambassadeur de l'éclosion de l'acid-jazz, représentant de l'émergence de l'afrosound et de l'afro-électro-funk, débarque à Beyrouth du haut de ses 80 ans. « Je crois que le Liban est l'un des 10 seuls pays au monde où je n'ai jamais eu l'occasion de jouer, souligne Manu Dibango, je suis ravi d'y être enfin invité! » Il sera accompagné du Soul Mokassa Gang.

Billets en vente au Virgin Megastore
ticketingboxoffice.com
Tél. : 01/999666.

« Le père de la world music ». Cette étiquette colle aux « beats » de Manu Dibango depuis que le saxophoniste camerounais a sorti un petit bijou d'ovni musical en 1972 intitulé Soul Mokassa. Initialement en face B d'un enregistrement réalisé pour la Coupe d'Afrique des nations et considéré comme le premier album disco, ce morceau ne tardera pas à enflammer les dance floors...

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