Rechercher
Rechercher

Moyen Orient et Monde

Pour Hollande, Assad n’est (toujours) « pas un interlocuteur crédible »

Le président français François Hollande a réaffirmé hier que Bachar el-Assad, « principal responsable du malheur de son peuple », n'était « pas un interlocuteur crédible pour lutter contre Daech (acronyme arabe de l'État islamique) et préparer l'avenir de la Syrie ». Lors d'un entretien avec le chef de la Coalition nationale syrienne Khaled Khoja, François Hollande a également « souligné la nécessité d'œuvrer sans relâche à la relance du processus de Genève pour une transition politique en Syrie », a indiqué la présidence française dans un communiqué.

Le président français François Hollande a réaffirmé hier que Bachar el-Assad, « principal responsable du malheur de son peuple », n'était « pas un interlocuteur crédible pour lutter contre Daech (acronyme arabe de l'État islamique) et préparer l'avenir de la Syrie ». Lors d'un entretien avec le chef de la Coalition nationale syrienne Khaled Khoja, François Hollande a également...

commentaires (3)

N'EST TOUJOURS PAS... SOUS ENTEND QU'UN JOUR IL LE SERA... N'EST PAS EST LE TERME À UTILISER !

LA LIBRE EXPRESSION

17 h 03, le 06 mars 2015

Tous les commentaires

Commentaires (3)

  • N'EST TOUJOURS PAS... SOUS ENTEND QU'UN JOUR IL LE SERA... N'EST PAS EST LE TERME À UTILISER !

    LA LIBRE EXPRESSION

    17 h 03, le 06 mars 2015

  • Le chef de l'opposition syrienne en exil a annoncé pour la première fois qu'il ne mettait plus le départ du président Bachar comme condition préalable pour des négociations de paix. Au cours d'une visite à Paris, Khaled Khoja, a créé la surprise en énonçant "une nouvelle stratégie por un dialogue avec tous les groupes d'opposition et les personnalités qui veulent établir une nouvelle Syrie". "Notre but ultime est d'être débarrassés de Bachar , mais ce n'est pas une condition préalable au début du processus). En revanche, il est nécessaire que ce processus conduise à un nouveau régime et une nouvelle Syrie libre", a-t-il souligné. La question préalable du départ d'Assad et la volonté de la Coalition de vouloir se présenter comme le seul représentant de l'opposition a bloqué jusqu'à présent tout rapprochement entre l'opposition en exil et celle de l'intérieur. "La déclaration de Khoja est positive", a déclaré à l'AFP à Damas Mounzer Khaddam, porte-parole du Comité de coordination nationale pour les forces du changement démocratique, principale coalition des opposants de l'intérieur. M. Khaddam a également accueilli favorablement l'absence de conditions préalables aux négociations. Ce que j'ai surtout retenu c'est le toujours entre parenthèse , venant de hollandouille ça veut bien dire ce que ça doit dire !

    FRIK-A-FRAK

    13 h 15, le 06 mars 2015

  • Les espoirs d'Assad de s'en sortir s'amenuisent de jour en jour. Personne n'est prêt a le laisser échapper au TSL, ni lui ni Hassouna. Tout ce qu'ils essayent de faire est de retarder l’inévitable. Je leur souhaite bonne chance!

    Pierre Hadjigeorgiou

    11 h 48, le 06 mars 2015

Retour en haut