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Liban

Raï aux tribunaux maronites : Ne laissez pas traîner les procès

Les juges et employés des tribunaux religieux maronites reçus dans le salon patriarcal. Photo Émile Eid

Le patriarche maronite Béchara Raï a demandé aux tribunaux maronites de ne pas faire traîner les procès en invalidation de mariage. Recevant les vœux des magistrats, à l'occasion des fêtes, le patriarche leur a demandé de chercher à respecter les délais réglementaires d'invalidation, de sorte qu'ils ne dépassent pas un an en première instance, et six mois en appel.
« En disant le droit, vous êtes des artisans de paix dans la famille et la société », a affirmé le patriarche, précisant que la rapidité avec laquelle la justice est prononcée fait partie de la justice. Et de conseiller aux juges de recourir à tous les moyens licites ou de bon sens pour accélérer la parution des jugements.
À cette fin, la semaine des cinq jours à temps complet a été instaurée dans les tribunaux de première instance, et celle de deux jours pour les procès en appel, a rappelé le chef de l'Église maronite. Les juges de première instance ont été exhortés à se dégager de toute autre obligation professionnelle, afin de se consacrer à leurs travaux.
« Dans les salons, les médias ou les messages qui nous sont adressés, a dit le patriarche, certains se plaignent des coûts exorbitants des procès canoniques, sans parler de la lenteur des procès. Pour éclairer l'opinion, précisons qu'il faut distinguer nettement entre les frais judiciaires proprement dits, qui sont affichés à la porte des tribunaux, et les émoluments des avocats. »

Le patriarche maronite Béchara Raï a demandé aux tribunaux maronites de ne pas faire traîner les procès en invalidation de mariage. Recevant les vœux des magistrats, à l'occasion des fêtes, le patriarche leur a demandé de chercher à respecter les délais réglementaires d'invalidation, de sorte qu'ils ne dépassent pas un an en première instance, et six mois en appel.« En disant le...

commentaires (3)

Guerre au sectarisme au Grand-Liban ! Évidemment. Ce bête sectarisme coinnique est bien au- dessous du niveau Zéro, il est au-dessous de toute critique, mais il n'en reste pas moins un objet de la critique ; tout comme le criminel qui est au-dessous du niveau de l'humanité reste, sûr, l’objet de son bourreau. En lutte contre ce sectarisme coinnique, la critique n'est pas une passion de la tête, mais la tête de la passion. Elle n'est pas un bistouri, mais une arme fatale. Son objet, c'est son ennemi qu'elle veut, non pas réfuter, mais anéantir. Car l'esprit du sectarisme coinnique de ce Mont-Libanais(h) avait déjà été réfuté. En soi et pour soi, ce sectarisme coinnique ne constitue pas d'objet qui mérite l’attention, et c'est quelque chose d'aussi méprisable que méprisé. La bonne critique en soi n'a pas besoin de se fatiguer à piger ou à comprendre ce simple objet indigène libanais(h), puisqu'elle l'a si bien saisi depuis longtemps déjà, yä hassértéhhh ! Elle ne se donne plus comme un but absolu pour le saisir, mais uniquement comme un simple moyen pour le détruire. Car, c'est l'indignation qui fait l'essence de son style à la critique, et c'est la dénonciation qui constitue le plus clair de sa besogne si hardie.

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

09 h 38, le 20 décembre 2014

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Commentaires (3)

  • Guerre au sectarisme au Grand-Liban ! Évidemment. Ce bête sectarisme coinnique est bien au- dessous du niveau Zéro, il est au-dessous de toute critique, mais il n'en reste pas moins un objet de la critique ; tout comme le criminel qui est au-dessous du niveau de l'humanité reste, sûr, l’objet de son bourreau. En lutte contre ce sectarisme coinnique, la critique n'est pas une passion de la tête, mais la tête de la passion. Elle n'est pas un bistouri, mais une arme fatale. Son objet, c'est son ennemi qu'elle veut, non pas réfuter, mais anéantir. Car l'esprit du sectarisme coinnique de ce Mont-Libanais(h) avait déjà été réfuté. En soi et pour soi, ce sectarisme coinnique ne constitue pas d'objet qui mérite l’attention, et c'est quelque chose d'aussi méprisable que méprisé. La bonne critique en soi n'a pas besoin de se fatiguer à piger ou à comprendre ce simple objet indigène libanais(h), puisqu'elle l'a si bien saisi depuis longtemps déjà, yä hassértéhhh ! Elle ne se donne plus comme un but absolu pour le saisir, mais uniquement comme un simple moyen pour le détruire. Car, c'est l'indignation qui fait l'essence de son style à la critique, et c'est la dénonciation qui constitue le plus clair de sa besogne si hardie.

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    09 h 38, le 20 décembre 2014

  • LES TRIBUNAUX RELIGIEUX DOIVENT ÊTRE BIFFÉS... CHEZ TOUT LE MONDE ! ET LEUR DÉCISIONS NON RECONNUES PAR L'ETAT ! çA C'EST L'HÉBÉTUDE PAR EXCELLENCE !!!

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 19, le 20 décembre 2014

  • "Il faut distinguer nettement entre les frais judiciaires proprement dits, qui sont affichés à la porte des tribunaux, et les émoluments des avocats." ! C'est quoi encore, cette situation "d'État dans l’État" !?

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    06 h 50, le 20 décembre 2014

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