La diatribe contre le Musée
La diatribe infondée contre le Musée national, le ministre de la Culture et la Fondation nationale du patrimoine est tout a fait inacceptable.
Le Musée a besoin d'un espace pour recevoir des expositions temporaires, d'une cafette digne de ce nom. Regardez les extensions de tous les musées du monde. Le ministre, quant à lui, a bien répondu à l'Apsad.
Je désire quitter l'Apsad, car écrire dans la presse sans en consulter les membres nous rend solidaires de votre action.
Naila KETTANEH-KUNIGK
Membre du comité exécutif de la Fondation nationale du patrimoine
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La méthode suppositoire
M. Nicolas Fattouche avait qualifié les droits de l'homme de suppositoire. Or il existe chez nos députés certaines pratiques politiques modernes qui pourraient porter ce nom. Elles consistent à faire préparer, dans la plus stricte confidentialité, les réformes, par de petits comités d'experts, puis à les mettre rapidement en œuvre pour éviter le débat, la contestation et les résistances. Dans un pays tribal comme le Liban où l'individualisme et les égoïsmes rendent les décisions politiques de plus en plus difficiles à prendre, comme l'élection d'un président de la République, nous voilà, en peuple soumis, acceptant malgré nous la prorogation du Parlement. Un Parlement qui maintient dans le flou – et donc difficile à appliquer des lois comme celle sur les nouveaux loyers. Quant aux fonctionnaires, si Manal Daou fait exception, la majorité des responsables à des degrés divers qu'ils soient débordés de travail ou chassant des mouches, il faudra souvent porter des gants ou les supplier de vous répondre et revenir maintes fois pour obtenir qu'un cachet soit apposé sur une formalité, une opération qui ne devrait pas en principe prendre plus de deux jours.En attendant de voir l'homme qu' il faut à la place qu'il faut, nos ministres et députés devraient commencer à donner le bon exemple pour permettre aux nouvelles générations diplômées de sauver cette république en faillite.
Antoine SABBAGHA
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Les fous d'Allah nés au Canada
Les deux tueurs de Saint-Jean-sur-Richelieu et d'Ottawa sont nés au Canada. Se peut-il que la GRC et les autres entités impliquées dans la lutte contre le terrorisme islamiste ciblent davantage les suspects nés à l'étranger, par exemple au Maghreb, que ceux nés au Canada ? Si oui, il faudrait repenser la stratégie.
Les Canadiens qui soutiennent ouvertement vouloir guerroyer aux côtés des jihadistes devraient être internés à titre préventif jusqu'à la fin de la guerre contre le groupe État islamique. Car s'ils sont prêts à prendre le fusil pour Allah, c'est qu'ils sont prêts à tuer des militaires occidentaux. S'ils sont empêchés de le faire à l'étranger, parce que leur passeport a été suspendu ou parce qu'ils sont incapables d'en obtenir un, ils peuvent toujours le faire sur place, comme nous l'avons vu les 20 et 22 octobre. Au minimum, les suspects devraient porter des bracelets électroniques afin que nous sachions en tout temps où ils se trouvent. Nous empêchons les étudiants de manifester quand et où ils veulent, mais nous permettons aux terroristes en puissance, de vraies bombes à retardement, d'aller où bon leur semble au Canada. Comprenne qui pourra !
Sylvio Le BLANC
Montréal (Québec)
La diatribe infondée contre le Musée national, le ministre de la Culture et la Fondation nationale du patrimoine est tout a fait inacceptable.Le Musée a besoin d'un espace pour recevoir des expositions temporaires, d'une cafette digne de ce nom. Regardez les extensions de tous les musées du monde. Le ministre, quant à lui, a bien répondu à l'Apsad.Je désire...
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