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Sport

Les principales nouveautés

Le punch de la première semaine. Neuf journées de plaine pour commencer, mais Marcel Kittel et les sprinteurs de son registre sont en droit de faire la grimace. D'Utrecht à Plumelec, terme du premier acte, les « hommes-jets » n'auront que trois occasions de conclure (Zelande, Amiens, Fougères). Deux chronos, deux arrivées en côte (Huy, Mûr-de-Bretagne), une étape de pavés (Cambrai) et un final pour sprinteurs-puncheurs (Le Havre) sont là pour supprimer tout effet de répétition. S'ils franchissent la montagne, les purs sprinteurs disposeront de deux ou trois autres occasions pour scorer (Valence et Paris, voire Rodez).

Le CLM par équipes tardif. Le règlement prévoit que l'exercice ait lieu dans le premier tiers de parcours. Les organisateurs ont dû demander une dérogation à l'Union cycliste internationale (UCI) pour présenter ce test après... huit jours de course, avec le risque que des formations soient affaiblies par les blessures et les abandons. « Sur une courte distance, se retrouver à sept n'est pas forcément un handicap », estime le directeur de course Thierry Gouvenou. Selon lui, les écarts, en raison de la longueur de l'étape limitée à 28 kilomètres, devraient être réduits entre Vannes et Plumelec, où l'arrivée sera jugée au sommet de la côte de Cadoudal (temps pris sur le cinquième homme).

Des arrivées inédites. La Pierre-Saint-Martin, la station des Pyrénées-Atlantiques au seuil du Pays basque près de la frontière franco-espagnole, accueille le Tour pour la première fois. C'est l'une des six villes-étapes inédites de cette 102e édition (avec Utrecht, la digue de Zélande, Livarot, Muret et Sèvres). En revanche, Pra-Loup renoue avec la course qui s'y était rendue pour la dernière fois en 1980, cinq ans après la première visite et le mémorable succès de Bernard Thévenet. Quant au Mur de Huy, grimpé chaque année à l'occasion de la Flèche Wallonne, il n'avait encore jamais donné lieu au final d'une étape de la grande boucle.

Le retour des bonifications. Christian Prudhomme, partisan du temps réel attribué aux coureurs, avait abandonné dès 2008 le principe des bonifications en temps aux arrivées d'étapes. L'édition 2015 revient sur ce principe pour la partie de plaine (10, 6 et 4 secondes aux trois premiers de la 2e à la 8e étape) afin de relancer l'intérêt de la lutte pour le maillot jaune dans la première moitié de course.
« C'est un élément d'animation dès lors qu'on est en permanence dans la plaine », explique le directeur du Tour. Sans ces bonifications, les écarts prévisibles dans le contre-la-montre initial d'Utrecht auraient amené l'équipe du maillot jaune à « verrouiller » la course.

L'Alpe-d'Huez près de Paris. À l'arrivée dans la station de l'Oisans, le samedi 25 juillet, les coureurs verront en arrière-plan la tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Jamais encore la célébrissime montée alpestre n'avait été si proche de Paris, que le peloton ralliera le lendemain au prix d'un transfert aérien. Mais, ces dernières années, le Tour a déjà rejoint des sommets à la veille de l'arrivée : le Ventoux en 2009 et le Semnoz en 2013.

Le punch de la première semaine. Neuf journées de plaine pour commencer, mais Marcel Kittel et les sprinteurs de son registre sont en droit de faire la grimace. D'Utrecht à Plumelec, terme du premier acte, les « hommes-jets » n'auront que trois occasions de conclure (Zelande, Amiens, Fougères). Deux chronos, deux arrivées en côte (Huy, Mûr-de-Bretagne), une étape de pavés (Cambrai)...

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