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Moyen Orient et Monde

La « lettre au monde » d’Ellen Johnson Sirleaf

La lutte contre Ebola en Afrique de l'Ouest a besoin de la participation de toutes les nations, car cette maladie « ne connaît pas de frontières », déclare Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Liberia, pays le plus touché par l'épidémie, dans une lettre ouverte diffusée hier.
« La réaction internationale à cette crise a dans un premier temps été incohérente et a manqué de coordination. Mais maintenant, enfin, le monde s'est réveillé. La communauté internationale s'est rendue compte qu'elle ne pouvait pas se barricader en espérant que la situation se dissipe », affirme Mme Sirleaf. « Cette lutte a besoin de l'engagement de chaque nation qui est en mesure d'aider, soit avec des fonds d'urgence, des fournitures sanitaires ou de l'expertise médicale », estime-t-elle, en invitant « gouvernements, organisations internationales, institutions financières, ONG, hommes politiques et gens ordinaires », à tous « de prendre part à la lutte contre Ebola ». « C'est un devoir pour chacun » de « ne pas laisser des millions d'habitants de l'Afrique de l'Ouest se débrouiller seuls contre un ennemi qu'ils ne connaissent pas et contre lequel ils ont peu de moyens de se défendre », insiste-t-elle, dans cette « lettre au monde » diffusée via la BBC.

La lutte contre Ebola en Afrique de l'Ouest a besoin de la participation de toutes les nations, car cette maladie « ne connaît pas de frontières », déclare Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Liberia, pays le plus touché par l'épidémie, dans une lettre ouverte diffusée hier.« La réaction internationale à cette crise a dans un premier temps été incohérente et a manqué de...

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