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Liban

Ils ont dit...

Samir Geagea, chef des Forces libanaises, dans un tweet : « Le Hezbollah et le général Michel Aoun assument directement la responsabilité de la situation actuelle au Liban. Ainsi, en sabotant l'élection présidentielle, ils ont saboté la présidence de la République, mais aussi l'action du Parlement, et ils ont fait de telle sorte que le gouvernement devienne un conseil tribal, sans foi ni loi et incapable de traiter le moindre dossier, de celui des militaires pris en otage à celui des journaliers d'EDL preneurs d'otages. Le prélude à n'importe quelle solution à tous ces dossiers est d'élire au plus tôt un nouveau président de la République. Et le président le plus fort qui puisse être élu est celui dont l'élection résulterait d'un accord entre les FL, le CPL, les autres formations chrétiennes et l'ensemble des forces nationales. »

Rachid Derbas, ministre des Affaires sociales, à la chaîne de télévision du « Futur » : sur la situation politique : « L'intelligence politique des Libanais souffre de deux maux. Ce sont l'absence du don de prévoyance et l'absence de volonté d'agir conformément aux prévisions. La classe politique libanaise attend toujours la dernière minute avant l'explosion pour trouver des solutions. En ce qui me concerne, si mon analyse politique est correcte, j'estime qu'il est possible avant le 20 novembre, date de l'expiration de la législature, de trouver une solution magique et d'élire un président de la République. » Sur la crise des otages militaires : « Il aurait fallu que les parents d'otages et nous soyons dans la même tranchée et main dans la main. Au lieu de cela, hélas, nous faisons ce que veulent de nous les preneurs d'otages et nous dressons des barricades entre nous. » Sur la coopération avec la Syrie : « Je n'ai pas d'objection à ce que nous coopérions avec n'importe quelle partie qui aurait un programme pour rapatrier les Syriens, y compris le gouvernement syrien. Je suis tout à fait prêt pour assurer à ceux qui le veulent un passage serein vers la Syrie. Quant à la coordination politique, elle n'est pas de mon ressort, mais de celui du gouvernement qui a une position fixe à ce sujet, et cela consiste en la politique de distanciation. »

Atef Majdalani, député de Beyrouth III et membre du bloc du Futur, à la Voix du Liban 100,5 : « Devant la tâche d'assurer le salut des otages militaires, il ne saurait y avoir de lignes rouges. Il est même souhaitable de négocier et de procéder à des échanges, parce que l'essentiel est de sauver les otages. Le prestige de l'État, il y a longtemps qu'il a été perdu, plus précisément lorsque après l'assassinat de Rafic Hariri et des autres martyrs, l'État s'est révélé incapable d'arrêter les individus inculpés du fait qu'ils étaient protégés par une partie libanaise. Par conséquent, que personne ne vienne aujourd'hui nous parler du prestige de l'État dans l'affaire des otages. Je demande à chacun des ministres de se mettre à la place des parents. Le problème, c'est que le gouvernement est incapable de prendre la moindre décision en l'absence d'un président de la République. »

Samir Geagea, chef des Forces libanaises, dans un tweet : « Le Hezbollah et le général Michel Aoun assument directement la responsabilité de la situation actuelle au Liban. Ainsi, en sabotant l'élection présidentielle, ils ont saboté la présidence de la République, mais aussi l'action du Parlement, et ils ont fait de telle sorte que le gouvernement devienne un conseil tribal, sans foi...

commentaires (2)

L'ANALYSE GÉNÉRALE DIT QUE LE TEMPS DES COMPTES, RÉGIONAUX ET LOCAUX, APPROCHE... ET LES PREMIERS SERONT LES DERNIERS ET LES DERNIERS SERONT LES PREMIERS !

LA LIBRE EXPRESSION

09 h 40, le 30 septembre 2014

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Commentaires (2)

  • L'ANALYSE GÉNÉRALE DIT QUE LE TEMPS DES COMPTES, RÉGIONAUX ET LOCAUX, APPROCHE... ET LES PREMIERS SERONT LES DERNIERS ET LES DERNIERS SERONT LES PREMIERS !

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 40, le 30 septembre 2014

  • Bravo au ministre Derbas qui prône la coopération avec n'importe qui pour un programme de rapatriement des réfugiés syriens en Syrie. De quoi le ministre de la diplomatie de l'enfantillage a-t-il pu parler avec Walid Mouallem, en sa réunion non-autorisée par le chef du gouvernement, si ce n'est de ce problème des réfugiés qui asphyxie le Liban ?

    Halim Abou Chacra

    05 h 09, le 30 septembre 2014

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