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Liban

Fouad el-Saad sonne le glas du Grand Liban

En marge de la rencontre de Saydet el-Jabal, le député Fouad el-Saad a rappelé les faits historiques qui ont marqué les années 1918, 1919 et 1920 et qui ont mené à la création du Grand Liban en 1920. S'interrogeant jusqu'à quand le Liban restera divisé, 74 ans après l'annonce du Grand Liban, Fouad el-Saad a insisté sur le fait que « le Grand Liban n'est pas le fruit du hasard mais celui d'un long combat ».
« La France a répondu à l'appel de la majorité des Libanais en 1920, et le courant qui menait un combat acharné depuis des siècles pour l'édification d'une patrie indépendante a enfin réussi en ce premier septembre, a expliqué le texte. De 1920 à 1943, les Libanais estimaient même que le premier septembre était la fête officielle qui symbolisait la mise en place de leur État moderne. Les partisans du Grand Liban, quant à eux, pariaient sur le développement intellectuel du peuple et de la société afin de mettre en place un État laïc démocratique à régime parlementaire dans le futur. Où en sommes-nous de ce pari ? Je crains qu'il ne soit déjà perdu maintenant que l'on discute en public des possibilités de préserver le Liban, de le diviser, ou de le faire disparaître, surtout que les conflits confessionnels n'ont pas connu de trêve. Les tensions entre sunnites et chiites augmentent, les groupuscules extrémistes islamistes avancent, des tribus font régner la loi de la jungle et les ingérences et tutelles étrangères grandissent en importance au pays du Cèdre. Nos grands-pères ont su bâtir un État que leurs fils n'ont pas su garder. Où vont donc les Libanais et qu'en est-il devenu de l'exploit du premier septembre 1920 ? »

En marge de la rencontre de Saydet el-Jabal, le député Fouad el-Saad a rappelé les faits historiques qui ont marqué les années 1918, 1919 et 1920 et qui ont mené à la création du Grand Liban en 1920. S'interrogeant jusqu'à quand le Liban restera divisé, 74 ans après l'annonce du Grand Liban, Fouad el-Saad a insisté sur le fait que « le Grand Liban n'est pas le fruit du hasard mais...

commentaires (5)

pauvre libanais, vous avez essayer, le liban a connu l'age d'or de 1950 a 1965, apres l'arriver au pouvoir des personnes que cela soit au nord du liban comme au sud du liban n'ont pas laisser celui-ci s'émanciper de sa partie confessionel comme prevu par nos ancêtres, bien sur la servilite de qlq libanais avide de pouvoir et qui ont subit un brainwach a grande envergure ceux la sont a chatier .. comment se peut il que dans un pays souverain a t on laisser des partie qui rendant leur allegence a d'autres pays que le liban aient vie le jour !!!

Bery tus

15 h 52, le 01 septembre 2014

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Commentaires (5)

  • pauvre libanais, vous avez essayer, le liban a connu l'age d'or de 1950 a 1965, apres l'arriver au pouvoir des personnes que cela soit au nord du liban comme au sud du liban n'ont pas laisser celui-ci s'émanciper de sa partie confessionel comme prevu par nos ancêtres, bien sur la servilite de qlq libanais avide de pouvoir et qui ont subit un brainwach a grande envergure ceux la sont a chatier .. comment se peut il que dans un pays souverain a t on laisser des partie qui rendant leur allegence a d'autres pays que le liban aient vie le jour !!!

    Bery tus

    15 h 52, le 01 septembre 2014

  • INSPIRÉ DE LA FABLE DE LAFONTAINE "LE RENARD ET LE BUSTE". LES POLITICIENS LES POLITICIENS SONT DES MASQUES DE THÉÂTRE, MULTI-COLORÉS POUR MIEUX CAMOUFLER LE PLÂTRE. L'ÂNE, ÉBLOUIT ET CHARMÉ, CÉLÈBRE CE QU'IL VOIT ; LE RENARD, S'EN MÉFIANT, DE PRÈS LES EXAMINE ; IL LES TOURNE EN TOUS SENS, ET QUAND IL S'APERçOIT QUE LEUR FACIÈS N'EST QU'UNE ARTIFICIEUSE MINE, IL LES ASSIMILE AUX BUSTES DES FAUX HÉROS, QUI, L'EFFAROUCHANT, LUI FIRENT DIRE À PROPOS : CE SONT DES BUSTES CREUX PLUS GONFLÉS QUE NATURE. LE RENARD, EN LOUANT L'EFFORT DE LA SCULPTURE : "BELLES TÊTES DIT-IL ; MAIS DE CERVELLE POINT !" TOUS LES POLITICIENS... SONT BUSTES EN CE POINT !

    LA LIBRE EXPRESSION

    13 h 45, le 01 septembre 2014

  • Ces affidés boSSfàRiens du bää bää bääSSyrien vont loin, en déclarant que la partie libre encore du 14 Sain a perdu le pouvoir et ne peut + agir que d'accord avec eux, les séides de l’aSSadique. Et, pleutres et couards, ils ne pouvaient agir que sous la dictée de l'annexeur bääSSyrien. Ils proclament alors de facto ce bääSSdiotiste autorité suprême au Grand-Liban. Le boSSfééér himself, capitulant en se rendant à Brâd, eut un chouia + de pudeur. Répondant aux injonctions du Monchâr, il déclara qu'il ne peut s'engager ayant, pion des bääSSyriens, cessé de jouir au Mont- Libanais d'1 quelconque autorité. Il pouvait tout au + accepter 1 pis-aller, i.e. sous réserve de l’acceptation de cela par le Râëéééh, qui seul a 1 peu de qualité de convenir des clauses d'1 débâcle avec ces bääSSyriens ! Rendu insolent par l'usurpation commise par ses séides qui, comme tels, continuaient à jouer aux "responsables" libanais, lionceau intervint sans gêne alors dans les affaires intérieures du Grand-Liban. Il proteste même le "gentlefarmer", contre cette manœuvre puînée sous prétexte qu'elle porte atteinte à sa liberté à lui d’à l’aise encore manœuvrer dans le Mont-Libanais. Really ? Ces boSSfàRiens espèrent que ce bâäSSyrien s'en tienne à ses conditions humiliantes ! Ils ne comprennent que cette façon de faire ! Ils finiront peut-être par comprendre enfin que, dans le pire des cas, ils ne peuvent que gagner à la poursuite de la Révolution Libre syrienne et à celle de sa sœur jumelle Cédraie !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    11 h 11, le 01 septembre 2014

  • PÈRE... PARDONNE-LEUR... ILS NE SAVENT PAS CE QU'ILS FONT !!!

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 26, le 01 septembre 2014

  • Nos grands-pères nous ont légué un Etat à bâtir et nous avons échoué dans cette tâche, à cause de notre confessionnalisme, nos égoismes monstres et nos loyautés sectaires à des puissances étrangères de la même couleur et non exclusivement au Liban.

    Halim Abou Chacra

    05 h 40, le 01 septembre 2014

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