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Liban

Il ont dit...

* Mohammad Kabbara, député de Tripoli, dans une déclaration à la presse sur la situation à Ersal : « La reprise des combats dans les hauteurs d'Ersal montre à quel point il est nécessaire de contrôler les points de passage légaux sur la frontière libano-syrienne et de boucler les voies non légales. C'est de cette manière que nous parviendrons à stopper les retombées du conflit en Syrie dans notre pays. Il ne faut pas que l'armée libanaise et les FSI, qui ont déjà payé le prix fort, soient seules à assumer la responsabilité d'une telle mission. Celle-ci a besoin d'une décision politique rassemblant tout le monde et émanant du gouvernement libanais. Les forces militaires et sécuritaires jouiraient alors d'une couverture nationale globale. Il faudrait donc pour cela que l'axe de la "moumanaa", et plus spécifiquement le parti des armes (le Hezbollah), qui appelle lui-même à une alliance nationale contre le terrorisme, accepte au sein du gouvernement la décision de contrôler la frontière et de fermer les voies non légales au lieu de comploter contre l'armée et les FSI, forcées de subir l'hémorragie due à la frontière-passoire. »

*Hussein Moussaoui, député (Hezbollah) de Baalbeck-Hermel, commentant l'aide à l'armée libanaise sur la Voix du Liban 93,3 : « J'appelle les Libanais à se rassembler face au terrorisme qui frappe le Liban et la région, dans la mesure où il s'agit du plus grand péril qui nous menace. Les promesses qui nous sont faites de fourniture d'armes à l'armée ne sont que des plaisanteries de la part de certains États, car nous ne voyons pas de traduction dans le concret de ces promesses, à l'heure où l'Iran est disposé à transférer des armes à l'armée libanaise en quelques jours si l'État libanais formule une demande en ce sens. »

* Amine Wehbé, député de la Békaa-Ouest et membre du bloc du Futur, à la Voix du Liban 100,5 : « Il y a toujours des protagonistes qui disent une chose et font le contraire. C'est notamment le cas du Hezbollah et de ses alliés qui parlent du soutien à l'armée et entretiennent eux-mêmes un arsenal. »

* Antoine Zahra, député FL de Batroun, évoquant la question présidentielle sur Radio-Liban Libre : « Les Forces libanaises étudient le moyen de réactiver l'initiative qui avait été lancée précédemment par le chef des FL, Samir Geagea, parce qu'elle englobe toutes les issues possibles vers l'élection d'un président de la République (...) Samir Geagea avait présenté sa candidature sur la base d'un programme politique exprimant le projet du 14 Mars. Depuis le début, il a dit que si une autre personnalité de l'alliance était en mesure de drainer les voix nécessaires, il ne serait pas lui-même un obstacle sur son chemin. Ultérieurement, M. Geagea est allé plus loin en s'adressant au général Michel Aoun et en lui proposant de s'en remettre à la Chambre (...) Mais le général Aoun est épris de pensée fondée sur l'élimination des autres et il ne fait que compliquer les choses en s'obstinant à vouloir être président du Liban. »

* Mohammad Kabbara, député de Tripoli, dans une déclaration à la presse sur la situation à Ersal : « La reprise des combats dans les hauteurs d'Ersal montre à quel point il est nécessaire de contrôler les points de passage légaux sur la frontière libano-syrienne et de boucler les voies non légales. C'est de cette manière que nous parviendrons à stopper les retombées du conflit en...

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