Après un entretien avec le mufti Mohammad Rachid Kabbani, le chef du bloc parlementaire de la résistance Mohammad Raad a révélé que les contacts entre le Hezbollah et le courant du Futur sont actuellement rompus.
M. Raad a en outre précisé que les derniers événements de Gaza ont montré que la résistance est un choix qui s'impose de lui-même, ajoutant qu'il est heureux de constater que ces événements ont poussé des parties au Liban à reconnaître le rôle de la résistance au Liban en 2006. Il a ajouté que le retour à l'option de la résistance serait de nature à débloquer bien des situations et à régler beaucoup de différends et de crises interdépendants que le Liban et la région subissent depuis 2005.
Mohammad Raad a ainsi déclaré : « Nos conflits avec nos partenaires reposent sur ce que nous considérons comme leur vision erronée de la résistance. Nous sommes donc heureux de les voir aujourd'hui saluer la résistance palestinienne et déclarer que c'est la force et la solidité de cette résistance qui mettront un terme à l'agression israélienne. À cet égard, je pose une question : "Pourquoi la résistance en Palestine est considérée comme la planche de salut pour mettre un terme à l'agression israélienne et au Liban, elle est une catastrophe pour le pays ?" » Pour le député du Hezbollah, c'est là le cœur du problème entre le parti chiite et ses détracteurs. Tout en ajoutant qu'au final, les différentes parties ont compris que la résistance est la seule option qui préserve la dignité des peuples et leur permet de recouvrer leur terre.
Au sujet d'une éventuelle prorogation du mandat du Parlement, Mohammad Raad s'est déclaré en faveur de la dynamisation des institutions et celle-ci, selon lui, se fait à travers le processus normal d'élections. « Mais s'il y a des empêchements, nous devrons réagir en tenant essentiellement compte de l'intérêt national », a-t-il dit.
Liban
Raad : Les relations avec le courant du Futur sont actuellement rompues
OLJ / le 25 juillet 2014 à 00h00
commentaires (2)
Voici Tonnerre à Rien qui se défausse en osant dire que depuis 05 il est "responsable" ! Mais qu'il y compte pour du beurre. Que ses amis se moquent de ses permissions, de ses humeurs et de ses avis. Pour qualifier de tels propos, on hésite entre impudence et effronterie. Que l’on s’en tienne, par euphémisme, au : "Il a du toupet !". Et voici ceux qui ricanent en répétant que les autres commettent tout autant de ces petites vilenies. Comme si cela valait absolution ! Et ceux qui, rituellement, accusent ses détracteurs de faire le jeu du despotisme, alors que ce sont leurs turpitudes qui empuantissent l'atmosphère au point de pourrir davantage cette démocratie infantile. On garde pour la bonne bouche son se(yy)ide du Walïï tant aimé semble-t-il de ses vociférants obligés comme de ses hommes de main, et qui tente invariablement de disqualifier le 14 Mars en l'insultant grossièrement. Pour le coup, Tonnerre à Rien, dont moult n’apprécient guère ses colères ni ses formules à l'emporte-pièce, renchérit fortement et répète la même chose qu'il dit d’habitude : "Je ne veux + entendre parler de ce 14 en Mars, comme exige l’hassine, H.N. à la ligne point!". Il appartient, semble-t-il, aux coreligionnaires de ce "de Rien iranàr(y)ien" de le suivre dans cet égaro-engagement qui fait honneur à la pleutrerie. Ne serait -ce que pour prouver la validité de ce qu'affirme sereinement le Hakîm Samir: "La grande majorité des Libanais, donc les Sains, ne veut + entendre de telles libânneries !".
ANTOINE-SERGE KARAMAOUN
14 h 25, le 25 juillet 2014