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Nos Lecteurs ont la Parole - Noha M. GEMAYEL INGEA

« Laissez venir à Moi les petits enfants »

Quels enfants, Jésus? Il n'y a plus d'enfants dans Ton royaume. Ils sont morts. Tous morts.
Et leurs camarades, avec qui ils se disputaient le même joujou, pleurent à présent. Ils savent qu'ils ne joueront plus ensemble, ils ne riront plus à pleines dents. Ils ne partageront plus le même banc à l'école. Ils ne se dissiperont plus en attendant la récréation pour se partager les friandises que maman n'oublie jamais de fourrer dans les poches de l'imperméable. Mais maman est morte, elle aussi.
Jésus, as-Tu vu ce père retrouver son enfant parmi les décombres de sa maison ? L'as-Tu vu le prendre dans ses bras, le secouer de toutes ses forces, pour qu'il le regarde, lui dise un mot, afin de s'assurer qu'il est encore en vie ? Le père, meurtri par l'évidence cruelle, serre son enfant sur son cœur, fort , très fort, et s'effondre, terrassé par une crise cardiaque foudroyante. La pelleteuse se dépêche de les ramasser tous deux pour les jeter dans je ne sais quelle fosse commune, de même que les déchets que l'on brûle afin d'éviter les épidémies et ainsi paver la voie pour tuer encore et davantage...
À l'adresse des puissants de ce monde, je ne parlerai même pas de honte, mais de cynisme. La honte est un sentiment noble. Elle relève de la sensibilité humaine et de la conscience universelle. Elle est remords et regret. Elle est aussi une expression de la fidélité aux grandes valeurs.
Michel-Ange, poète, idéaliste et croyant, mettant la dernière touche à son Moïse, lui lance son marteau en lui criant : « Mais parle donc ! »
Alors, Jésus, Tu es venu sur terre pour rien ? Le monde n'a pas changé, si ce n'est qu'il est pire.
Jésus ! Tu es mort deux fois. Hier et maintenant : une agonie de tous les instants.
Toi le père tout-puissant, Toi le maître de l'univers, « parle donc ! » Le monde a besoin de Ton attention. Écoute les prières de François afin que le monde rejoigne Ton royaume, le royaume de Dieu.

Quels enfants, Jésus? Il n'y a plus d'enfants dans Ton royaume. Ils sont morts. Tous morts.Et leurs camarades, avec qui ils se disputaient le même joujou, pleurent à présent. Ils savent qu'ils ne joueront plus ensemble, ils ne riront plus à pleines dents. Ils ne partageront plus le même banc à l'école. Ils ne se dissiperont plus en attendant la récréation pour se partager les friandises...

commentaires (1)

On serait par le contexte ; abusés ! Il est vrai qu'en l'occurrence avec "l’humanisme" étalé on est gratifié, car avec lui tout est niais. Peu importe, l'essentiel pour joindre 1 stimulation intellectuelle est que la niaiserie soit par lui instillé, d’être conditionné de manière à altérer le sens de tout phénomène, ou leurré par une subjectivité qui ne serait que la fabrication d'un "humanisme" émollient patenté ; voilà ce qui menace ! Si l'on se permet une once de cuistrerie, on rappellerait que les "expertises? sur l'humanisme" ont tout dit au sujet de l'illusionnisme, ce bonneteau de la perception pratiqué bien ailleurs que dans son show "sacré". Notamment que c'est celui-ci qui induit le message, et qu'1 enchaînement "d'humanisme" à tout va crée du sens. D'où il ressort que la sensation qu’on a d'un phénomène, e.g. celle d'un "humanisme" en turban ou en soutane etc. ; tout cela est faussé par la représentation qui en est projeté et par une certaine résonance avec les à priori qui vont avec ! Et que la faculté de penser s'en trouve bloquée dans autant de certitudes. Alors que ce qu’on pourrait faire de mieux à ce sujet, renvoie à la réponse habituelle d’un Saint éhhh Sain quand on l’aborde avec un : "Kîîîfak, alors ça va avec l' humanisme ? Et qui répond : On se le demande !".

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

16 h 27, le 25 juillet 2014

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Commentaires (1)

  • On serait par le contexte ; abusés ! Il est vrai qu'en l'occurrence avec "l’humanisme" étalé on est gratifié, car avec lui tout est niais. Peu importe, l'essentiel pour joindre 1 stimulation intellectuelle est que la niaiserie soit par lui instillé, d’être conditionné de manière à altérer le sens de tout phénomène, ou leurré par une subjectivité qui ne serait que la fabrication d'un "humanisme" émollient patenté ; voilà ce qui menace ! Si l'on se permet une once de cuistrerie, on rappellerait que les "expertises? sur l'humanisme" ont tout dit au sujet de l'illusionnisme, ce bonneteau de la perception pratiqué bien ailleurs que dans son show "sacré". Notamment que c'est celui-ci qui induit le message, et qu'1 enchaînement "d'humanisme" à tout va crée du sens. D'où il ressort que la sensation qu’on a d'un phénomène, e.g. celle d'un "humanisme" en turban ou en soutane etc. ; tout cela est faussé par la représentation qui en est projeté et par une certaine résonance avec les à priori qui vont avec ! Et que la faculté de penser s'en trouve bloquée dans autant de certitudes. Alors que ce qu’on pourrait faire de mieux à ce sujet, renvoie à la réponse habituelle d’un Saint éhhh Sain quand on l’aborde avec un : "Kîîîfak, alors ça va avec l' humanisme ? Et qui répond : On se le demande !".

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    16 h 27, le 25 juillet 2014

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