Rechercher
Rechercher

Culture - Musique

Le jazz se fête le 30 avril !

En collaboration avec l'Unesco, Solidere célèbre la Journée mondiale du jazz le 30 avril (rue Uruguay, centre-ville) qui est devenue un rendez-vous annuel international.

Randa Armanazy annonçant le programme entourée de M.M. Joseph Kreidy, représentant l’Unesco, et Jean Kassabian, programmateur du festival. Photo Michel Sayegh

Cette soirée unique, qui démarre à 19 heures, pour s'achever vers 1 heure, rassemble des ensembles aux noms prestigieux et déjà reconnus sur la plateforme musicale libanaise.
Depuis que cette date est devenue officielle dans tous les pays, le Liban et les autres régions du globe célèbrent la musique jazz. Et si le festival n'est qu'à sa seconde édition, Solidere avait auparavant conjugué ses efforts, depuis 2004 plus précisément, pour pouvoir réunir ceux qui sont devenus les ambassadeurs de ce genre de musique.
«L'an dernier, ont affirmé les organisateurs, la rue Uruguay, située derrière le jardin Samir Kassir (le choix est judicieux pour son éloignement du trafic et des lieux de résidence), a accueilli des centaines d'amoureux de la musique jazz vibrant aux harmonies diverses et différentes les unes des autres.»
Cette année encore, l'infrastructure, bien élaborée, est prête à recevoir de nouveau les aficionados rendant ainsi hommage à une musique libre et ouverte à toutes les sensibilités.
Au programme donc :

19 heures

«The Lebanese Conservatory Big Band». Une composition moderne de dix-huit musiciens avec saxophone, trompette, trombone et rythmes. Créé en 2010 par le disparu Walid Gholmieh, cet ensemble est considéré comme «une montagne de sons et de rythmes».

20 heures

«Funky Blue Band» avec Bruno Paoli au clavier, Tony Rizkallah (guitare basse), Fayez Rizkallah (batterie) et Kamal Badaro (guitare et voix). Cet ensemble est composé d'amateurs qui ont conjugué leur passion pour la musique à tous les temps. Ils interpréteront des airs de BB King, Elmore James, Big Bill Bronzie ainsi que des Rolling Stones.

21 heures

«The Real Deal Blues Band» avec Hani Alayli à la guitare, Élie Farah (guitare et voix) et Issa Goraieb (saxophone). Ce groupe a été créé par Hani Alayli en 1997, dédié particulièrement aux amoureux du blues. Son objectif est de maintenir la tradition du groove de Chicago. Ces musiciens ont interprété leurs airs dans des lieux différents et sont considérés comme les représentants de ce genre musical sur la scène libanaise.

23 heures

«Arthur Satyan Organ Quartet» avec Arthur Satyan à l'orgue, Thomas Horning au saxophone, Raffi Mandalian à la guitare et Fouad Afra (batterie). Arthur Satyan est considéré comme le doyen du jazz au Liban. C'est lui qui a instauré et implanté cette tradition avec ses expériences électriques. Il faut donc s'attendre à des airs des années 50 jusqu'au jazz fusion des
années 70.

Minuit

La soirée se terminera avec «Jazzmine Bey Quartet» avec Thomas Horning au saxophone, Bruno Paoli au piano, Ruedi Felder à la basse et Arnaud Oeggerli à la batterie. Ces quatre musiciens européens, établis à Beyrouth, interpréteront des compositions de Bruno Paoli ainsi que des airs de McCoy Tyner, Wayne Shorter et Abdallah Ibrahim.

Rendez-vous rue Uruguay le 30 avril. L'entrée est libre.

Cette soirée unique, qui démarre à 19 heures, pour s'achever vers 1 heure, rassemble des ensembles aux noms prestigieux et déjà reconnus sur la plateforme musicale libanaise.Depuis que cette date est devenue officielle dans tous les pays, le Liban et les autres régions du globe célèbrent la musique jazz. Et si le festival n'est qu'à sa seconde édition, Solidere avait auparavant...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut