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Sport

Échos du Mondial

« Brazuka » ou Bazooka ?

Cauchemar du gardien, rêve du buteur. Le goal de Nice (1re div. française) et de l'équipe de Colombie, David Ospina, a testé « brazuca », le ballon du Mondial 2014. Verdict : « Ils font surtout des ballons pour marquer des buts. Celui-là flotte beaucoup. Les spectateurs vont apprécier. Mais les gardiens vont devoir beaucoup travailler et s'adapter », a dit Ospina. Claude Puel, l'entraîneur niçois, a confirmé : « C'est un ballon très léger, agréable à la frappe, mais difficile pour les gardiens. Il y a aura des buts au Brésil. Les grosses frappes seront favorisées. »

Souffrir

Les Uruguayens sont prêts à « souffrir », même le ridicule, pour soutenir leur équipe. Sous la devise #PorUruguayhagomas (#Pourl'Uruguayjefaisplus), une marque de déodorant a lancé une campagne de publicité incitant les supporteurs à « faire des promesses » pour porter chance à l'équipe d'Oscar Tabarez. Sur plusieurs vidéos, au cri de « Vive l'Uruguay ! » des fans sautent d'une berge à l'autre d'un cours d'eau ou exhibent des coupes de cheveux extravagantes. D'autres dévorent des oignons en l'honneur de Cristian « Cebolla » (Oignon) Rodriguez, le joueur uruguayen de l'Atletico Madrid, ou s'épilent les jambes à la cire, en signe de dévotion à la « Céleste ».

Superstition

Le Chili se demande s'il va survivre au groupe B, dit de « la mort », où il devra affronter les deux finalistes du dernier Mondial, l'Espagne et les Pays-Bas, ainsi que la modeste Australie. Dans le quartier résidentiel de Ñuñoa, à l'est de Santiago, l'avenue « Chili-Espagne » coupe la rue « Hollande » et les habitants s'interrogent : mauvais présage ou heureux signe du destin ?
Argentine-Argentine
Pour l'entraîneur argentin Alejandro Sabella, le plus grand adversaire de l'Argentine c'est... l'Argentine, face à ses rivaux du groupe F (la Bosnie, l'Iran et le Nigeria) a priori à sa portée. « L'adversaire principal, c'est nous. Si on joue bien, on aura tendance à minimiser la difficulté du groupe. Si on n'est pas au top et concentrés comme il le faut, tous nos adversaires seront très difficiles et le groupe peut vraiment se compliquer. »

Argent russe

Le maire de Rio de Janeiro, Eduardo Paes, a obtenu ce qu'il voulait : ne pas dépenser un denier public dans la Fan fest carioca, de peur de s'attirer les foudres des manifestants « anti-Coupe ».
L'argent viendra du gouvernement russe (qui va organiser le Mondial de 2018) et de l'entreprise Duty Free. Ils vont débourser 2,3 millions d'euros chacun pour que 20 000 supporteurs puissent suivre chaque jour les matchs sur un écran géant sur la plage de Copacabana, selon le journal O'Globo.

Assiette Mondial

En pleine folie des prix à l'approche du Mondial de football, à São Paulo, on peut déguster des spécialités culinaires des 32 pays en compétition pour seulement 30 centimes d'euro. Le gouvernement local a élargi son programme « Bom Prato » (Bonne Assiette). Quatre jours par semaine, en avril et en mai, l'un des plats traditionnels brésilien des 41 restaurants populaires participant à l'opération est remplacé par une spécialité comme le Kimchi sud-coréen (à base de légumes fermentés) ou le Riz Jollof ghanéen (Riz avec du poisson des légumes et du poulet). Pour la première semaine, ce sont les spécialités de Belgique, d'Algérie, de Russie et de Corée du Sud (groupe H du tirage au sort) qui sont à l'honneur.
(Source : AFP)

« Brazuka » ou Bazooka ?
Cauchemar du gardien, rêve du buteur. Le goal de Nice (1re div. française) et de l'équipe de Colombie, David Ospina, a testé « brazuca », le ballon du Mondial 2014. Verdict : « Ils font surtout des ballons pour marquer des buts. Celui-là flotte beaucoup. Les spectateurs vont apprécier. Mais les gardiens vont devoir beaucoup travailler et s'adapter », a...

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