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Économie - Rapport

70 % des Libanais misent sur le salaire dans le choix d’un emploi

Selon une étude réalisée par le site d'emplois régional Bayt.com avec l'agence d'études de marchés YouGov, 38 % des Libanais auraient accepté leur poste de travail actuel car ils n'ont pas eu le choix. 21 % des sondés ont répondu avoir choisi leur poste car ce dernier serait en rapport avec le domaine recherché, 11 % ont admis avoir choisi leur carrière en fonction de la rémunération, tandis que le même pourcentage a répondu avoir accepté l'emploi en raison de la réputation de l'entreprise.
En comparaison, 33 % des personnes interrogées dans la région ont répondu avoir choisi leur emploi car il s'agirait de la première ou de la seule offre qu'ils auraient perçue. 20 % des personnes sondées ont répondu avoir choisi leur poste car ce dernier serait en rapport avec le domaine recherché. 16 % ont admis avoir choisi leur carrière en fonction de la rémunération, tandis que 14 % des interrogés dans la région ont répondu avoir accepté leur emploi en raison de la réputation de leu entreprise ou organisation.
L'étude a été menée entre le 22 octobre et le 5 novembre 2013. Les résultats ont été recoupés en fonction de réponses collectées en ligne auprès de 7 445 adultes résidant en Algérie, à Bahreïn, en Égypte, Jordanie, Koweït, Liban, Maroc, sultanat d'Oman, Qatar, Arabie saoudite, Tunisie et aux Émirats arabes unis (EAU).
Par ailleurs, 70 % des Libanais sondés ont considéré le salaire comme facteur le plus important dans le choix de l'emploi « idéal », suivi par les opportunités d'avancement de carrière (66 %) le côté « stimulant » du poste (28 %), l'équilibre entre la vie personnelle et professionnelle (25 %), le sentiment d'accomplissement et la sécurité de l'emploi (24 % chacun), la flexibilité des horaires de travail (13 %), celle de l'emploi du temps (7 %) et le
nombre défini d'heures de travail (4 %).
En parallèle, 45 % des Libanais ayant participé à l'étude ont estimé que leur emploi actuel manquait d'opportunités d'avancement de carrière, 29 % que le secteur dans lequel ils travaillent ne permet pas d'évolution. Enfin, 29 % ont considéré que les promotions n'étaient pas basées sur un système de méritocratie. 47 % des Libanais ont en outre indiqué que le manque d'opportunités de
croissance était le frein principal à l'évolution de la carrière personnelle, suivi d'une faiblesse au niveau du management de l'entreprise (24 %), du manque d'expérience ou d'expérience qui n'est pas en relation avec le poste occupé actuellement (21 %), du favoritisme au sein de l'espace de travail (18 %), du manque de financements (15 %), de l'absence de législation (11 %), du niveau élevé de concurrence (8 %) et des inégalités entre les sexes (4 %).

Selon une étude réalisée par le site d'emplois régional Bayt.com avec l'agence d'études de marchés YouGov, 38 % des Libanais auraient accepté leur poste de travail actuel car ils n'ont pas eu le choix. 21 % des sondés ont répondu avoir choisi leur poste car ce dernier serait en rapport avec le domaine recherché, 11 % ont admis avoir choisi leur carrière en fonction de la...

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