« Beyrouth» en calligraphie cloutée. Photo Michel Sayegh
C’est un accrochage ludique, pop et coloré que présente la galerie Pièce unique jusqu’au 26 octobre.
Un accrochage de tableaux pas tout à fait comme les autres. Certains entièrement composés de clous, d’autres intégrant des points de lumière, d’autres encore emprisonnés sous des barres de fer ou découpés directement dans des alliages de cuivre jaune, rose et étamé...
Bref, des tableaux en techniques mixtes que Nayla Kai Saroufim, la fraîche trentaine, élabore au moyen de photos, de peinture, de collage, mais aussi de trous, de clous, de cuivre, de fer et de leds !
L’artiste, issue du monde de l’illustration et de la publicité, présente à la galerie Pièce unique une série intitulée «Cities of Light» et inspirée – vous vous en serez doutés – de deux villes de lumière. L’une célèbre pour ses illuminations nocturnes et l’autre plus connue pour la luminosité de son ciel de jour. À savoir, New York et Beyrouth.
Deux univers urbains totalement opposés, mais ayant en commun cette prodigieuse vitalité que la jeune femme a eu envie de rendre dans ses toiles.
Des sortes d’illustrations « photopicturales » du rythme trépidant de ces deux cités, à travers des vues de coins de rues, de places, de ponts...traversés de silhouettes peintes de personnages colorés, sautillants, qui ne sont pas sans évoquer les personnages de bédéistes de magazines.
Des silhouettes de jeunes femmes en virées shopping avec sacs et marmots dans les rues de Big Apple, de touristes se faisant photographier place de l’Étoile à Beyrouth, de cyclistes cernés de gratte-ciel, de joggeurs sur la Corniche... Qui, à travers les toiles juxtaposées sur les cimaises de la galerie, forment une sorte de petite chronique visuelle de la vie urbaine.
Parallèlement à ces scènes de rue, Nayla Saroufim a aussi calligraphié le mot Beyrouth en arabe au moyen de petits clous sur panneau de bois. Idem pour l’iconique Marilyn Monroe qu’elle a aussi clouée sur toile. Et puis cette déclaration – faite aux deux villes peut-être ? ! – « I love you, I love you, I love you » en caractères directement incisés dans du cuivre doré, jaune et blanc. Cela évoque une certaine bague de grand joaillier et ses serments de sentiments éternels.
Des œuvres sympathiques en somme, qui dégagent une note légère, une tonalité glamoureuse et juvénile.
*Saifi Village, rue Ariss Kanafani. Horaires d’ouverture : du lundi au samedi, de 10h à 18h. Tél. : 01/975655.
Un accrochage de tableaux pas tout à fait comme les autres. Certains entièrement composés de clous, d’autres intégrant des points de lumière, d’autres encore emprisonnés sous des barres de fer ou découpés directement dans des alliages de cuivre jaune, rose et étamé...
Bref, des tableaux en techniques mixtes que Nayla Kai Saroufim, la fraîche trentaine, élabore au moyen de photos, de peinture, de collage, mais aussi de trous, de clous, de cuivre, de fer et de leds !
L’artiste, issue du monde de l’illustration et de la publicité, présente à la galerie Pièce unique une série intitulée «Cities of Light» et inspirée – vous vous en serez doutés – de deux villes de lumière. L’une célèbre pour ses illuminations nocturnes et l’autre plus connue pour la luminosité de son ciel de jour. À savoir, New York et Beyrouth.
Deux univers urbains totalement opposés, mais ayant en commun cette prodigieuse vitalité que la jeune femme a eu envie de rendre dans ses toiles.
Des sortes d’illustrations « photopicturales » du rythme trépidant de ces deux cités, à travers des vues de coins de rues, de places, de ponts...traversés de silhouettes peintes de personnages colorés, sautillants, qui ne sont pas sans évoquer les personnages de bédéistes de magazines.
Des silhouettes de jeunes femmes en virées shopping avec sacs et marmots dans les rues de Big Apple, de touristes se faisant photographier place de l’Étoile à Beyrouth, de cyclistes cernés de gratte-ciel, de joggeurs sur la Corniche... Qui, à travers les toiles juxtaposées sur les cimaises de la galerie, forment une sorte de petite chronique visuelle de la vie urbaine.
Parallèlement à ces scènes de rue, Nayla Saroufim a aussi calligraphié le mot Beyrouth en arabe au moyen de petits clous sur panneau de bois. Idem pour l’iconique Marilyn Monroe qu’elle a aussi clouée sur toile. Et puis cette déclaration – faite aux deux villes peut-être ? ! – « I love you, I love you, I love you » en caractères directement incisés dans du cuivre doré, jaune et blanc. Cela évoque une certaine bague de grand joaillier et ses serments de sentiments éternels.
Des œuvres sympathiques en somme, qui dégagent une note légère, une tonalité glamoureuse et juvénile.
*Saifi Village, rue Ariss Kanafani. Horaires d’ouverture : du lundi au samedi, de 10h à 18h. Tél. : 01/975655.
C’est un accrochage ludique, pop et coloré que présente la galerie Pièce unique jusqu’au 26 octobre. Un accrochage de tableaux pas tout à fait comme les autres. Certains entièrement composés de clous, d’autres intégrant des points de lumière, d’autres encore emprisonnés sous des barres de fer ou découpés directement dans des alliages de cuivre jaune, rose et étamé... Bref,...
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