Les combats entre armée syrienne et rebelles ont baissé d'intensité jeudi après un assaut des insurgés contre la prison centrale d'Alep, l'une des plus grandes de Syrie, selon une ONG syrienne.
L'assaut avait été donné mercredi soir par les rebelles qui sont parvenus à entrer dans le bâtiment de la direction de la prison, où de violents combats avaient éclaté pour la première fois depuis mai.
Après minuit, "les affrontements ont baissé en intensité entre l'armée d'une part, et les membres du Front al-Nosra, lié à Al-Qaïda, et du groupe islamiste Ahrar al-Cham", a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'ONG n'était pas en mesure de préciser jeudi si l'armée était parvenue à repousser les insurgés à l'extérieur de la prison, soulignant que les combats n'avaient pas atteint les bâtiments où sont détenus les prisonniers.
La prison, où sont détenues des milliers de personnes, était assiégée depuis avril dernier par les rebelles qui cherchaient à en prendre le contrôle.
Elle est située à la périphérie nord de la grande métropole du nord du pays en guerre depuis plus de deux ans et demi.
Après l'assaut, l'armée a violemment bombardé les alentours de la prison, mais ces raids ont baissé en intensité après minuit.
Les rebelles veulent libérer les détenus de cette vaste prison et des combats et bombardements ont lieu depuis mai à l'extérieur du centre de détention.
Environ 4.000 à 5.000 prisonniers, en majorité des criminels de droit commun, mais aussi des islamistes, des militants et des mineurs, sont détenus dans cette prison.
L'OSDH avait dénoncé une situation sanitaire "effrayante" dans la prison d' Alep en faisant état de cas de tuberculose et de gale.
L'assaut avait été donné mercredi soir par les rebelles qui sont parvenus à entrer dans le bâtiment de la direction de la prison, où de violents combats avaient éclaté pour la première fois depuis mai.
Après minuit, "les affrontements ont baissé en intensité entre l'armée d'une part, et les membres du Front al-Nosra, lié à Al-Qaïda, et du groupe islamiste Ahrar al-Cham", a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'ONG n'était pas en mesure de préciser jeudi si l'armée était parvenue à repousser les insurgés à l'extérieur de la prison, soulignant que les combats n'avaient pas atteint les bâtiments où sont détenus les prisonniers.
La prison, où sont détenues des milliers de personnes, était assiégée depuis avril dernier par les rebelles qui cherchaient à en prendre le contrôle.
Elle est située à la périphérie nord de la grande métropole du nord du pays en guerre depuis plus de deux ans et demi.
Après l'assaut, l'armée a violemment bombardé les alentours de la prison, mais ces raids ont baissé en intensité après minuit.
Les rebelles veulent libérer les détenus de cette vaste prison et des combats et bombardements ont lieu depuis mai à l'extérieur du centre de détention.
Environ 4.000 à 5.000 prisonniers, en majorité des criminels de droit commun, mais aussi des islamistes, des militants et des mineurs, sont détenus dans cette prison.
L'OSDH avait dénoncé une situation sanitaire "effrayante" dans la prison d' Alep en faisant état de cas de tuberculose et de gale.
Les combats entre armée syrienne et rebelles ont baissé d'intensité jeudi après un assaut des insurgés contre la prison centrale d'Alep, l'une des plus grandes de Syrie, selon une ONG syrienne.L'assaut avait été donné mercredi soir par les rebelles qui sont parvenus à entrer dans le bâtiment de la direction de la prison, où de violents combats avaient éclaté pour la première fois...
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