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Liban

Polémique Amal-Bassil sur les gisements pétrolifères (suite)

Le ministre sortant de l’Énergie, Gebran Bassil, a publié hier un communiqué dans lequel il a répondu aux accusations du ministre sortant de la Santé, Ali Hassan Khalil, du mouvement Amal, qui reproche à son collègue de l’Énergie de ne soumettre à adjudication qu’un seul des dix blocs du gisement pétrolifère libanais. Le président de la Chambre, Nabih Berry, estime en effet qu’il serait préférable de lancer les adjudications pour les dix blocs simultanément. Dans son communiqué, le ministre Bassil a déclaré que « les propos du ministre de la Santé contredisent les déclarations du président Berry qui a affirmé qu’il fera preuve de sagesse dans cette affaire, et qu’il permettra la discussion au sein du Conseil des ministres à ce sujet ». Et d’ajouter : « Nous nous sommes vus obligés de répondre aux fausses accusations et présomptions du ministre, mais nous attendrons la conférence de presse que nous tiendrons vendredi prochain, pour révéler au grand jour les vérités et les documents concernant l’opération de forage du pétrole. »
Le ministre Ali Hassan Khalil avait en effet publié un communiqué la veille, dans lequel il avait affirmé que « Gebran Bassil croit vraiment qu’il est capable de dénaturer les faits devant l’opinion publique, en répétant des affirmations erronées ». « Nous n’y avons pas trop cru, mais il est ridicule que le ministre Bassil croie qu’il peut décider quelle est la partie qui adopte des positions nationales concernant l’affaire du pétrole. Celui qui prétend vraiment vouloir l’intérêt national n’aurait pas retardé l’ouverture des blocs frontaliers avec Israël à des fins profitant à des pays étrangers et n’aurait pas supprimé parmi les blocs choisis l’extrême nord et l’extrême sud », a-t-il ajouté, affirmant que « le ministre Bassil se croit le propriétaire du projet de pétrole, et oublie qu’il n’a même pas pu transférer le projet de loi concerné au Parlement ». Et de poursuivre : « Nous voulons le pétrole pour tout le Liban, et pour la région de Batroun, mais sans commencer par les jardins des maisons. Le ministre Bassil doit écouter l’avis des experts. Nous avons encore beaucoup de choses à lui dire et que personne ne pense pouvoir altérer nos positions historiques, en haussant la voix. »
Le ministre sortant de l’Énergie, Gebran Bassil, a publié hier un communiqué dans lequel il a répondu aux accusations du ministre sortant de la Santé, Ali Hassan Khalil, du mouvement Amal, qui reproche à son collègue de l’Énergie de ne soumettre à adjudication qu’un seul des dix blocs du gisement pétrolifère libanais. Le président de la Chambre, Nabih Berry, estime en effet...

commentaires (2)

Et pendant ce temps là,les saddoq pompaient pompaient,les bibis encaissaient encaissaient....les libanais,eux se contentent de ramer,ramer....ces politiques sont vraiment à jeter...en bloc...au fond d'un puits... de pétrole!

GEDEON Christian

16 h 53, le 16 octobre 2013

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Commentaires (2)

  • Et pendant ce temps là,les saddoq pompaient pompaient,les bibis encaissaient encaissaient....les libanais,eux se contentent de ramer,ramer....ces politiques sont vraiment à jeter...en bloc...au fond d'un puits... de pétrole!

    GEDEON Christian

    16 h 53, le 16 octobre 2013

  • LE GENDRISSIME ET MINISTRE BASSIL FAIT TRÈS BIEN DE LAISSER À PLUS TARD LES FORAGES DES PRÉTENDUS GISEMENTS DE L'EXTRÊME NORD COMME DE L'EXTRËME SUD, NON SEULEMENT CAR S'ILS SONT INCLUS... IL Y AURAIT DES CONFLITS ET IL N'Y AURAIT JAMAIS DE FORAGE D'AUCUN DE TOUS LES AUTRES GISEMENTS AUSSI... MAIS PARCEQUE LE PATRIOTISME LE LUI DICTE ! QUE TOUS LES OISEAUX DE MAUVAIS AUGURE NE JACASSENT PLUS !

    SAKR LOUBNAN

    12 h 02, le 16 octobre 2013

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