Le patriarche maronite Béchara Raï a dénoncé jeudi, lors d'une conférence de presse, la procrastination manifeste au sein de la classe politique libanaise concernant la formation du nouveau gouvernement.
"Le pays n'appartient pas à un parti ou à un autre, nul n'a le droit de décider du sort de la nation (...)", a lancé Mgr Raï lors d'une conférence de presse à l'aéroport international de Beyrouth, à son retour du Vatican où il s'est entretenu avec le pape François.
Le patriarche maronite a souhaité que "le nouveau Cabinet soit formé et que la crise politique au Liban soit réglée" le plus tôt possible.
Désigné le 6 avril dernier, le nouveau Premier ministre Tammam Salam peine toujours à former un gouvernement en raison notamment des divisions au Liban à cause de la crise en Syrie.
Dans ce contexte, Mgr Raï a estimé que "les Libanais et les Syriens forment une seule famille". "Ni les musulmans, ni les chrétiens sont capables de vivre dans de telles circonstances (...). L'existence de mouvements extrémistes et takfiris (dans la région) est regrettable, a-t-il déploré.
"Le pays n'appartient pas à un parti ou à un autre, nul n'a le droit de décider du sort de la nation (...)", a lancé Mgr Raï lors d'une conférence de presse à l'aéroport international de Beyrouth, à son retour du Vatican où il s'est entretenu avec le pape François.
Le patriarche maronite a souhaité que "le nouveau Cabinet soit formé et que la crise politique au Liban soit réglée" le plus tôt possible.
Désigné le 6 avril dernier, le nouveau Premier ministre Tammam Salam peine toujours à former un gouvernement en raison notamment des divisions au Liban à cause de la crise en Syrie.
Dans ce contexte, Mgr Raï a estimé que "les Libanais et les Syriens forment une seule famille". "Ni les musulmans, ni les chrétiens sont capables de vivre dans de telles circonstances (...). L'existence de mouvements extrémistes et takfiris (dans la région) est regrettable, a-t-il déploré.
Le patriarche maronite Béchara Raï a dénoncé jeudi, lors d'une conférence de presse, la procrastination manifeste au sein de la classe politique libanaise concernant la formation du nouveau gouvernement. "Le pays n'appartient pas à un parti ou à un autre, nul n'a le droit de décider du sort de la nation (...)", a lancé Mgr Raï lors d'une conférence de presse à l'aéroport...
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