Un représentant-clé du secteur touristique a révélé hier à l’agence al-Markaziya que le gouverneur de la Banque du Liban (BDL), Riad Salamé, a pris la décision, avec l’aval du ministre sortant des Finances, Mohammad Safadi, de mettre en place une réforme sur le plan des prêts immobiliers octroyés aux entreprises touristiques : la période de remboursement devrait être rallongée de trois ans pour s’étendre sur 10 ans.
Cette décision a été évoquée lors de la dernière réunion de la commission parlementaire de l’Économie, du Commerce, de l’Industrie et du Plan, présidée par le député Nabil de Freige, selon le président du syndicat des propriétaires de plage et secrétaire général de la Fédération des syndicats touristiques, Jean Beyrouthi.
Rappelons que M. Salamé avait reçu en août une délégation de la Fédération libanaise des syndicats touristiques, qui lui avait soumis des mesures concrètes pour soutenir le secteur, qui traverse une période particulièrement difficile.
Les syndicats touristiques avaient notamment suggéré une réforme sur le plan des prêts immobiliers aux entreprises touristiques. Ils avaient également proposé un système de subvention étatique pour le mazout et la mise en place par la compagnie aérienne Middle East Airlines d’un tarif préférentiel pour les ressortissants de certains pays, « contribuant significativement à l’activité touristique du Liban ».
Jeudi dernier, c’était au tour de la commission parlementaire de l’Économie, du Commerce, de l’Industrie et du Plan de se pencher sur les besoins spécifiques du tourisme, lors d’une réunion incluant l’essentiel des acteurs du secteur.
Rappelons que, face aux turbulences régionales, à l’insécurité et au vide institutionnel qui paralyse le Liban depuis des mois, la situation du secteur touristique libanais ne cesse de se dégrader, à l’unisson avec l’économie du pays.
Ainsi, le taux d’occupation des hôtels a chuté de 35 % en trois ans pour les hôtels de la capitale et de 66 % pour ceux qui se situent en dehors de Beyrouth, notamment dans les zones de villégiature. Pour ce qui est des prêts, l’institution semi-étatique Kafalat a témoigné cette année d’une baisse de l’ordre de 20 %. Les prêts spécifiquement octroyés au secteur touristique auraient dégringolé de 35 %. Enfin, sur le plan de la restauration, nombreux sont les établissements qui ont mis la clé sous la porte en 2013, ou drastiquement réduit leur personnel...
Cette décision a été évoquée lors de la dernière réunion de la commission parlementaire de l’Économie, du Commerce, de l’Industrie et du Plan, présidée par le député Nabil de Freige, selon le président du syndicat des propriétaires de plage et secrétaire général de la Fédération des syndicats touristiques, Jean Beyrouthi.
Rappelons que M. Salamé avait reçu en août une délégation de la Fédération libanaise des syndicats touristiques, qui lui avait soumis des mesures concrètes pour soutenir le secteur, qui traverse une période particulièrement difficile.
Les syndicats touristiques avaient notamment suggéré une réforme sur le plan des prêts immobiliers aux entreprises touristiques. Ils avaient également proposé un système de subvention étatique pour le mazout et la mise en place par la compagnie aérienne Middle East Airlines d’un tarif préférentiel pour les ressortissants de certains pays, « contribuant significativement à l’activité touristique du Liban ».
Jeudi dernier, c’était au tour de la commission parlementaire de l’Économie, du Commerce, de l’Industrie et du Plan de se pencher sur les besoins spécifiques du tourisme, lors d’une réunion incluant l’essentiel des acteurs du secteur.
Rappelons que, face aux turbulences régionales, à l’insécurité et au vide institutionnel qui paralyse le Liban depuis des mois, la situation du secteur touristique libanais ne cesse de se dégrader, à l’unisson avec l’économie du pays.
Ainsi, le taux d’occupation des hôtels a chuté de 35 % en trois ans pour les hôtels de la capitale et de 66 % pour ceux qui se situent en dehors de Beyrouth, notamment dans les zones de villégiature. Pour ce qui est des prêts, l’institution semi-étatique Kafalat a témoigné cette année d’une baisse de l’ordre de 20 %. Les prêts spécifiquement octroyés au secteur touristique auraient dégringolé de 35 %. Enfin, sur le plan de la restauration, nombreux sont les établissements qui ont mis la clé sous la porte en 2013, ou drastiquement réduit leur personnel...
Un représentant-clé du secteur touristique a révélé hier à l’agence al-Markaziya que le gouverneur de la Banque du Liban (BDL), Riad Salamé, a pris la décision, avec l’aval du ministre sortant des Finances, Mohammad Safadi, de mettre en place une réforme sur le plan des prêts immobiliers octroyés aux entreprises touristiques : la période de remboursement devrait être rallongée...
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