Un récital servi par la présence d’artistes de l’école rahbanienne à la voix exceptionnelle.
Summer Night, un concert produit par Ghadi et Oussama Rahbani, est un bouquet de chansons tirées du répertoire varié de la famille, regroupant les aînés autant que la nouvelle génération. Des chansons ancrées dans le patrimoine culturel libanais tout comme dans la mémoire collective du public. Réorchestrés par Ghadi et Oussama également au piano, les airs sont vivement dépoussiérés et reprennent leurs couleurs d’origine sous la houlette du maestro Vladimir Sirenko.
Un programme, en deux parties, bien dosé, qu’il s’agisse du tempo des chansons alternées entre doux et entraînant, ou des thèmes, passant du romantique au patriotique. Un récital servi par la présence d’artistes de l’école rahbanienne à la voix exceptionnelle: Ronza, à la voix profonde, Hiba Tawaji, impressionnante par sa force et sa douceur, en parfaite harmonie avec l’orchestre, cèdent la place tour à tour aux chanteurs Ghassan Saliba, Simon Obeid, Nader Khoury et Élie Khayat. Ils galvaniseront la foule tout au long du spectacle.
Et la magie opère
à nouveau...
De fait, l’auditoire attendait leurs chansons pour les reprendre en applaudissant avec le plus grand enthousiasme. La magie opère à nouveau et les plus jeunes entrevoient alors à quoi ressemblaient les opérettes d’autrefois, sur une scène plus spacieuse, où les artistes n’auraient pas eu à se retirer complètement pour laisser passer leurs collègues à chaque chanson.
Si les Rahbani continuent, plus de cinquante ans après, à susciter le même enthousiasme et la même indéfectible fidélité de la part du public, c’est bien sûr grâce à la magie de leur musique faite de diverses influences savamment digérées, mais surtout parce qu’ils savent faire rêver leur public à un Liban meilleur, uni et tolérant, fait d’un seul peuple au cœur simple, toujours prêt à le défendre. Naïf ? On n’avait pas en tout cas envie de le penser ce soir-là, quand on s’est surpris à reprendre en chœur, avec les autres, quelques refrains particulièrement galvanisants. Il y était question de courage, de volonté et de liberté. Des ingrédients simples, mais efficaces.
Assi et Mansour en leur temps, puis Élias, puis Oussama, Marwan, Ghadi et les autres ont su et savent toujours unir les cœurs et les voix autour de valeurs simples et fédératrices qui donnent à l’art de la chanson populaire ses titres de noblesse.
Ah ! Que nos dirigeants ne le disent-ils pas... en chantant!
Un programme, en deux parties, bien dosé, qu’il s’agisse du tempo des chansons alternées entre doux et entraînant, ou des thèmes, passant du romantique au patriotique. Un récital servi par la présence d’artistes de l’école rahbanienne à la voix exceptionnelle: Ronza, à la voix profonde, Hiba Tawaji, impressionnante par sa force et sa douceur, en parfaite harmonie avec l’orchestre, cèdent la place tour à tour aux chanteurs Ghassan Saliba, Simon Obeid, Nader Khoury et Élie Khayat. Ils galvaniseront la foule tout au long du spectacle.
Et la magie opère
à nouveau...
De fait, l’auditoire attendait leurs chansons pour les reprendre en applaudissant avec le plus grand enthousiasme. La magie opère à nouveau et les plus jeunes entrevoient alors à quoi ressemblaient les opérettes d’autrefois, sur une scène plus spacieuse, où les artistes n’auraient pas eu à se retirer complètement pour laisser passer leurs collègues à chaque chanson.
Si les Rahbani continuent, plus de cinquante ans après, à susciter le même enthousiasme et la même indéfectible fidélité de la part du public, c’est bien sûr grâce à la magie de leur musique faite de diverses influences savamment digérées, mais surtout parce qu’ils savent faire rêver leur public à un Liban meilleur, uni et tolérant, fait d’un seul peuple au cœur simple, toujours prêt à le défendre. Naïf ? On n’avait pas en tout cas envie de le penser ce soir-là, quand on s’est surpris à reprendre en chœur, avec les autres, quelques refrains particulièrement galvanisants. Il y était question de courage, de volonté et de liberté. Des ingrédients simples, mais efficaces.
Assi et Mansour en leur temps, puis Élias, puis Oussama, Marwan, Ghadi et les autres ont su et savent toujours unir les cœurs et les voix autour de valeurs simples et fédératrices qui donnent à l’art de la chanson populaire ses titres de noblesse.
Ah ! Que nos dirigeants ne le disent-ils pas... en chantant!
Summer Night, un concert produit par Ghadi et Oussama Rahbani, est un bouquet de chansons tirées du répertoire varié de la famille, regroupant les aînés autant que la nouvelle génération. Des chansons ancrées dans le patrimoine culturel libanais tout comme dans la mémoire collective du public. Réorchestrés par Ghadi et Oussama également au piano, les airs sont vivement dépoussiérés...
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