Les alliés du Hezbollah, tel que le général Michel Aoun, pourraient être également touchés par les mesures coercitives décidées mardi par le Conseil de coopération du Golfe (CCG), suite à l’intervention militaire du parti chiite en Syrie, indique le secrétaire général adjoint du CCG pour les négociations et le dialogue stratégique, Abdel Aziz al-Awicheq au quotidien panarabe al-Charq al-Awsat.
« Des outils identiques à ceux utilisés pour traquer les terroristes seront utilisés pour identifier les membres du Hezbollah et leurs alliés vivant dans les pays membres du CCG », ajoute-t-il, tels que « le suivi des transactions financières vers le Parti de Dieu et la Syrie » et « le blanchiment d’argent ».
De son côté, le directeur du département international du CCG, le Dr Michari, a assuré que ces mesures ne sont pas dirigées contre les résidents de la communauté libanaise, mais uniquement contre les membres du Hezbollah.
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