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Liban

Sleiman : Il ne faut pas autoriser l’envoi d’armes et de combattants en Syrie

Le chef de l’État s’entretenant avec M. Samir Mokbel. Photo Dalati et Nohra

Le président Michel Sleiman a jugé nécessaire de « ne pas autoriser l’envoi d’armes et de combattants en Syrie ou l’installation de bases d’entraînement militaire sur le sol libanais », mais sans préciser la partie qui doit interdire ce genre d’activités. « Il ne s’agit pas seulement d’une application de la déclaration de Baabda et de la politique de distanciation et d’un engagement en faveur des deux, mais d’une nécessité pour protéger l’unité nationale et éviter que la coexistence ne soit exposée à des secousses », a-t-il dit devant ses visiteurs.
M. Sleiman s’est entretenu hier avec le vice-Premier ministre sortant, Samir Mokbel, qui lui a exposé les projets réalisés par les commissions ministérielles qu’il préside. Le chef de l’État a également reçu le ministre démissionnaire de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Hassan Diab, avec qui il a notamment discuté des préparatifs des examens officiels.
Le président Sleiman a en outre examiné la situation financière du pays avec le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, qui l’a rassuré au sujet de la stabilité de la situation monétaire.
Parmi les visiteurs de Baabda, les anciens ministres Mona Afeiche et Abdallah Hanna.
Le président Michel Sleiman a jugé nécessaire de « ne pas autoriser l’envoi d’armes et de combattants en Syrie ou l’installation de bases d’entraînement militaire sur le sol libanais », mais sans préciser la partie qui doit interdire ce genre d’activités. « Il ne s’agit pas seulement d’une application de la déclaration de Baabda et de la politique de distanciation et...

commentaires (5)

LE CHEF DE L'ETAT "SEUL" HOMME DE BONNE VOLONTÉ ET DE BONNE FOI, SEUL VRAI LIBANAIS... MAIS QUE PEUT-IL FAIRE QUAND LES "JUDAS" ET LES "TRAÎTRES", QUI SE VENDENT ET QUI VENDENT, SONT INNOMBRABLES, SURTOUT HUITIÈME PARALLÈLE PARLANT !

SAKR LOUBNAN

11 h 28, le 26 avril 2013

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Commentaires (5)

  • LE CHEF DE L'ETAT "SEUL" HOMME DE BONNE VOLONTÉ ET DE BONNE FOI, SEUL VRAI LIBANAIS... MAIS QUE PEUT-IL FAIRE QUAND LES "JUDAS" ET LES "TRAÎTRES", QUI SE VENDENT ET QUI VENDENT, SONT INNOMBRABLES, SURTOUT HUITIÈME PARALLÈLE PARLANT !

    SAKR LOUBNAN

    11 h 28, le 26 avril 2013

  • Mister zeu présidainte est sorti de son SILENCE (j'emploie ce terme car un présidainte, ça ne s'offusque pas eu égard à sa charge et le fait qu'il représente toutes et tous!) Je trouve que ses phrases sont devenues artistiquement sibyllines.. Elles ont plusieurs interprétations et chacun peut s'y retrouver... ça y est, sa transformation ou dois-je dire la chrysalide (?) est complète; le militaire est devenu un beau politique à l'envol léger. La question qui se pose maintenant c'est: Est-ce que les Libanais sont prêts/acceptent un Politique comme chef de l'état? Ils ont toujours mis un militaire, certes "super partes" à ce poste car incapables des 'entendre sur rein, non?

    Ali Farhat

    01 h 20, le 26 avril 2013

  • IL prend ses RÊVES pour la RÉALITÉ ou.... la MÉTHODE Coué !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    09 h 17, le 25 avril 2013

  • Il était temps de se réveiller Monsieur le Président ! Tant que c'était Nasrallah, silence radio. Maintenant qu'Assir se met de la partie, vous réalisez qu'il se passe quelque chose ?

    Saleh Issal

    08 h 19, le 25 avril 2013

  • Il ne faut pas, est un souhait. L'appliquer est une autre chose. Les interventions contredisent le souhait. A QUAND L'ETAT PRENDRA-T-IL SES RESPONSABILITÉS À DEUX MAINS et S'IMPOSERA, QUEL QU'EN SOIT LE PRIX, SUR TOUT LE SOL NATIONAL ?

    SAKR LOUBNAN

    06 h 02, le 25 avril 2013

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