Le ministre sortant de l’Énergie et de l’Eau, Gebran Bassil, a affirmé hier que le seul moyen de préserver l’eau au Liban, « une richesse gaspillée », était à travers la construction de barrages.
Les déclarations de M. Bassil sont intervenues à l’occasion de la pose de la première pierre du barrage de Janna dans la région de Nahr Ibrahim. Le coût du projet est estimé à 250 millions de dollars, entièrement versés par les offices des eaux de Beyrouth et du Mont-Liban. Le barrage, haut de 165 mètres et qui pourra retenir jusqu’à 95 millions de mètres cubes d’eau, sera le deuxième plus grand barrage du Liban après celui du lac Qaraoun.
La deuxième étape de la construction du barrage sera lancée en juin. Le projet devrait être prêt en 2017.
Ce barrage permettrait aussi de produire de 90 à 140 MW d’électricité. Il alimentera en eau le caza de Jbeil avec 35 millions de mètres cubes et Beyrouth avec 60 millions de mètres cubes.
Les déclarations de M. Bassil sont intervenues à l’occasion de la pose de la première pierre du barrage de Janna dans la région de Nahr Ibrahim. Le coût du projet est estimé à 250 millions de dollars, entièrement versés par les offices des eaux de Beyrouth et du Mont-Liban. Le barrage, haut de 165 mètres et qui pourra retenir jusqu’à 95 millions de mètres cubes d’eau, sera le deuxième plus grand barrage du Liban après celui du lac Qaraoun.
La deuxième étape de la construction du barrage sera lancée en juin. Le projet devrait être prêt en 2017.
Ce barrage permettrait aussi de produire de 90 à 140 MW d’électricité. Il alimentera en eau le caza de Jbeil avec 35 millions de mètres cubes et Beyrouth avec 60 millions de mètres cubes.
Le ministre sortant de l’Énergie et de l’Eau, Gebran Bassil, a affirmé hier que le seul moyen de préserver l’eau au Liban, « une richesse gaspillée », était à travers la construction de barrages.Les déclarations de M. Bassil sont intervenues à l’occasion de la pose de la première pierre du barrage de Janna dans la région de Nahr Ibrahim. Le coût du projet est estimé à 250...
commentaires (2)
Qui posera la dernière pierre ? S'il descend un peu du piédestal où il se croit perché, et ne copie pas les manières capopralistiques, comme il le fait actuellement, et comprenne qu'il faut mettre de l'eau dans son vin, qu'il soit celui qui la posera... SI... le peuple l'élira !
SAKR LEBNAN
13 h 41, le 09 avril 2013