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Liban

Les travaux de la commission sur la loi électorale reprendront le 8 janvier

Le chef du législatif, Nabih Berry, a indiqué hier aux députés qu’il a reçus à sa résidence de Aïn el-Tiné, dans le cadre de ses rencontres hebdomadaires chaque mercredi avec les membres du Parlement, que les travaux de la sous-commission parlementaire chargée d’étudier les projets de loi électorale reprendront le mardi 8 janvier.
Cette commission ad hoc, issue des commissions conjointes, comprend des représentants des deux camps politiques en présence (le 14 Mars et le 8 Mars), en l’occurrence les députés Farid Makari, Akram Chehayeb, Ali Fayad, Ali Bazzi, Alain Aoun, Hagop Pakradounian, Ahmad Fatfat, Georges Adwan, Samy Gemayel et Serge Torsarkissian. M. Makari, qui se trouve depuis quelque temps à Paris en raison des menaces proférées contre lui, a confirmé hier qu’il n’assistera pas aux réunions de la commission. De ce fait, c’est le député Robert Ghanem, président de la commission parlementaire de l’Administration et de la Justice, qui le remplacera pour présider les séances de travail. Quant à M. Akram Chehayeb, qui fait lui aussi l’objet de menaces, il pourrait être remplacé par le député Élie Aoun, membre du bloc joumblattiste.
Dans ce cadre, le président de la Chambre a indiqué hier que les membres de la commission ad hoc tiendront des réunions intensives, à raison de deux ou trois séances par jour. À ce sujet, le député Youssef Maalouf, membre du bloc parlementaire des Forces libanaises, a précisé que les travaux de la commission seront limités à un laps de temps restreint. M. Maalouf a indiqué que des contacts sont entrepris avec le président Michel Sleiman afin d’aboutir à une formule de loi électorale représentant un « seuil minimum ». Il a évoqué à ce sujet la possibilité d’introduire certains amendements à la loi de 1960 actuellement en vigueur.
La position du 14 Mars sur ce plan est fustigée par le ministre hezbollahi Mohammad Fneich qui a accusé hier le 14 Mars de chercher à « torpiller l’échéance électorale ». L’ancien député Wi’am Wahhab (8 Mars) a affirmé quant à lui qu’il ne saurait y avoir d’élections législatives à l’ombre de la loi de 1960.
Le chef du législatif, Nabih Berry, a indiqué hier aux députés qu’il a reçus à sa résidence de Aïn el-Tiné, dans le cadre de ses rencontres hebdomadaires chaque mercredi avec les membres du Parlement, que les travaux de la sous-commission parlementaire chargée d’étudier les projets de loi électorale reprendront le mardi 8 janvier. Cette commission ad hoc, issue des commissions...

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