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Lifestyle - les potins

Quelqu’un m’a dit...

Une mariée supercanon pour Bassel
Un mariage dans l'église du village a toujours un cachet spécifique et une saveur particulière. C'est une fête qui se vit avec la participation d'un nombre d'habitants de la localité, des parents et des amis, et s'achève par une zaffé traditionnelle où des jeunes battent la derbaké et le tambour. Ce fut le cas pour Bassel Sleiman Frangié et Marianne Alecco Chiha qui se sont unis jeudi dernier à l'église Mar Antonios à Zghorta, devant un millier de personnes. Parmi les convives, Nayla Moawad, Fayez Ghosn, Michel Moawad, Robert Boulos, Nadim Élie Hobeika, Lamia Dahdah et son fils Mounir, Karim el-Racy, Mona et Eddy Doumet, Marie-Joe Taleb accompagnée de son fils Michel Haddad, Monica Thomas, Denise Safa, Carine et Junior Lteif. Et évidemment la maman du marié Marianne Sarkis, Tony Frangié et sa sœur Vera, et leur oncle Robert bey. La bénédiction nuptiale a été suivie d'un gigacocktail préparé par Nicolas Cattan, où tout le monde a joyeusement trinqué au bonheur du nouveau couple.

Samedi midi, un déjeuner concocté par le même chef Cattan, a été donné à 500 personnes dans les jardins du Mist Hotel & Spa by Warwick, à Ehden, où un bon nombre d'invités s'étaient installés dès jeudi soir.
À la table de Rima et du député et leader des Marada avaient pris place May et Nagib Mikati, Wadad et Rony Arayji, l'émir Talal Arslan, Jamil es-Sayed, Farid el-Khazen, Hind et Maurice Sehnaoui, et Ronald Chaghoury. À celle de Marianne Sarkis se sont retrouvés Mona et Eddy Doumet, Arlette et Roland Hayek, les parents de la mariée Nada et Alecco Chiha, sa grand-mère Nicole Émile Tabet et sa tante Denise Asté. Pour sa part, Robert Frangié s'est entouré de Marisa Chidiac, de Marie-Noël Issa el-Khoury, de Denise Safa, de Misou et de Khalil Kharrat.

Parmi les convives aussi, Mona Pharaon et sa fille Paola Rizk, Saada et Zouzou Sehnaoui, Marie-Joe Taleb, Lelita Diab, Maha Romanos, Maria et Karim Geagea et leurs enfants, Lamita et Dr Béchara Asmar, Monique et Billy Karam, Maya et Ghassan Geagea, Laetitia et Johnny Arida, Sherine et Roger Moukarzel, Charif Doumet, Nayla Tuéni et Malek Maktabi, Georges Ghanem et Marcel Ghanem.
La mariée était supercanon dans sa robe dessinée par Rabih Kayrouz, également présent ce jour-là.
Melhem Zein et une chanteuse afro-américaine se sont relayés pour animer le déjeuner. C'était joyeux et exubérant. Marita, fille de Assi el-Hallani et future fiancée de Sylvio Chiha, a même pris le micro en l'honneur du nouveau couple.
La décoration des lieux a été réalisée par Jocelyne Mehanna.

Gordon forcé à découcher
Hermès l'infidèle ! La célèbre Maison de luxe française, qui montre toujours son amour du cheval et lui rend régulièrement hommage dans ses produits, a centré son exposition sur les déclinaisons du carré de soie Panthera Pardus : des grands fauves en voie de disparition, dessiné et peint par Robert Dallet. Un événement artistique qui avait tout d'un vernissage, et au cours duquel Michèle et Nicolas Garzouzi ont joué les guides pour Wadad et le ministre de la Culture Rony Arayji, accompagnés de leur fille Nadine. La famille a déambulé dans les rues du centre-ville pour découvrir les différentes expositions qui se sont tenues dans le cadre de la 7e foire artistique. Celle-ci a été inaugurée par les ministres de la Culture et du Tourisme, en présence des ambassadeurs de France, de Belgique, de Suisse, du Pakistan, d'Argentine, de Grande-Bretagne (avec son épouse Laura Shorter), d'Italie (et son épouse Zina Marotti) ainsi que le chargé d'affaires de l'ambassade des États-Unis, Danny Hall. Pascal Odille, directeur artistique, et Laure d'Hauteville, fondatrice et directrice de BAF, en robe longue signée Rani Zakhem, parée de boucles d'oreilles Sélim Mouzannar, étaient fiers de recevoir la « Daraa », distinction honorifique du ministère de la Culture.

Le dîner de gala donné ensuite à l'hôtel Le Gray a rassemblé beaucoup de monde, dont le comte Michel de Nadaillac, le grand collectionneur d'art contemporain chinois Jean-Marc Decrop, Michèle de Freige, l'artiste Zad Moultaka (représentant le Liban à la prochaine édition de la Biennale d'art de Venise et dont les œuvres récentes étaient exposées au stand de la Galerie Janine Rubeiz), Lyne et Nicolas Kassatly, Zeina Arida et Carl Bassil, Nabil Debs, Tarek et Florence Nahas, le comte Alban de Vilmorin et son épouse Soizic, ainsi que le directeur de l'Institut culturel italien Eduardo Crisafulli, et beaucoup d'autres.

La foire a attiré le groupe du Musée d'art moderne et contemporain de Genève (Mamco), dont le président Philippe Bertherat et le directeur Lionel Bovier, aperçus tous les deux en compagnie de Zaza et Philippe Jabre. Présents également à cette occasion, 27 journalistes venus d'Europe, des Émirats arabes et d'Afrique du Nord. Mais aussi, Henri de Danne, organisateur de voyages culturels, et Florence Klein, ancienne présentatrice de talk-show de Téléfrance USA, de TF1 et de FR3, qui ont sillonné le Liban, durant neuf jours. L'hôtel Le Gray a affiché complet au point que Gordon Campbell Gray a dû élire domicile ailleurs pour quelques jours.

Et Dieu créa Marlène
À la soirée inaugurale du festival de Tannourine, une jolie speakerine de télévison s'est fendue d'un discours hypersurréaliste. Du 1er au sixième jour, dit-elle, Dieu a créé la lumière, les eaux du ciel et de la terre, le règne animal, puis vint la création de l'homme. Le 7e jour, contrairement à ce que l'on croit, Dieu ne s'est pas mis au repos. Il a créé Marlène ! Marlène, dans une robe blanche ottomane digne des soirées de Versailles, monte sur scène sous les applaudissements du public et fait sa plus belle déclaration d'amour à cheikh Boutros Harb. Concluant par « Seigneur soustrayez de mon âge des années pour prolonger celles de Boutros ». À rendre verts de jalousie tous les maris présents. On le serait à moins ! Avant de descendre de son estrade et d'étreindre avec ardeur son époux, la présidente du festival de Tannourine a annoncé que Shakira sera à l'affiche la saison prochaine.

L'avion, quel cauchemar !
Après le Met et la Scala et autres planches d'opéra qu'il a fréquentées pendant trois décennies, le grand baryton belge José van Dam s'est pris de passion pour le répertoire de Carlos Gardel, le célèbre « tangero » de Buenos Aires. Son concert à Baalbeck promettait du bonheur. Hélas, dans l'avion qui l'amenait à Beyrouth, le virus l'a pris à la gorge. Extinction de voix. Il s'est bourré de cortisone, d'antibiotiques, de thym, de miel, de citron... Rien à faire. Il n'a pas pu chanter. Cela dit, les avions sont des bouillons de virus. Des voyageurs malades contaminent d'autres passagers et leur transmettent des pathologies désagréables. Selon l'étude de Charles Gerba, microbiologiste de l'Université d'Arizona, ce sont les fauteuils situés le long des allées, donc sur le trajet des passagers allant ou sortant des toilettes, qui sont les plus exposés. Idem pour les appuie-tête auxquels s'agrippent les voyageurs quand ils perdent l'équilibre. Quant aux tablettes sur lesquelles on pose les plateaux repas, elles sont loin d'être saines car elles ne sont pas systématiquement désinfectées d'un vol à l'autre. Alors ne prenez jamais votre repas avant de les nettoyer avec une lingette désinfectante... La prudence est la vertu des sages !

Pas malin Mr. Seal
Peu d'œuvres de la danse française se sont inscrites dans les mémoires comme a pu le faire ce Roméo et Juliette signé Angelin Preljocaj. Trois des danseurs ont aussi laissé leur souvenir au festival de Beiteddine : ils ont débarqué sans leurs chaussons, et il a fallu courir dans le Grand Beyrouth pour trouver des demi-pointes. Entre-temps, une des managers pousse les hauts cris disant avoir attrapé la peste. Irruption cutanée et diarrhée. Elle avoue finalement avoir ingurgité à bloc des aliments épicés et pimentés. Elle sera hospitalisée durant deux jours à l'hôpital Trad.

Pas du tout sympa Mr. Seal. Dès son arrivée à l'aéroport, sans même un salut, il jette quasiment son attaché case à l'agent qui le reçoit. Il continue sa provocation en voiture en se déchaussant, étendant ses pieds sous le nez (presque) du chauffeur qui n'a guère apprécié le spectacle. À Beiteddine, il s'enferme dans sa loge où même son manager n'ose pas le déranger. Visiblement, le chanteur britannique aux quatre Grammy Awards a ses sautes d'humeur, ce qui a donné des sueurs froides aux organisateurs... jusqu'à son entrée sur scène. Du coup, il est apparu tout heureux. Sourire jusqu'aux oreilles, il n'hésite pas à se mêler à la foule, draguer ses fans, serrer les mains, et n'a pas manqué de jouer le jeu des selfies en se fendant de petites blagues. On a compris : son paradis sur terre, c'est la scène ! Et sa chaleur humaine n'est réservée qu'à son public.

Les falafels de Sia
Elle est arrivée en avion privé quelques heures avant sa performance à Byblos. À l'aéroport, voiture blindée et escorte de motards pour ouvrir la route littorale la plus embouteillée au monde. Marque déposée de Dora-Jounieh. Mais Sia avait décidé de suivre le conseil d'un ami libanais et d'aller faire coucou à Abou André, à Adma. Elle tenait à goûter à ses falafels tout de suite, avant son concert. Nagi Baz, qui en a vu bien d'autres comme situations stressantes, obtempère. D'autant que c'était sur leur chemin. Une fois arrivé, il passe une commande de vingt sandwichs en pressant le vendeur de faire vite. Mais, au grand dam de Baz, la chanteuse australienne déboule avec son manager dans la bicoque d'Abou André, qui, lui, oublie totalement son client pour faire goûter à la « touriste » ses diverses boulettes de pois chiche. Nagi angoisse, regarde l'heure, s'énerve, il n'est même pas amusé quand il entend un jeune couple s'exclamer en arabe : « Oh ! Comme elle ressemble à Sia ! »

ditavonbliss@hotmail.com

Une mariée supercanon pour BasselUn mariage dans l'église du village a toujours un cachet spécifique et une saveur particulière. C'est une fête qui se vit avec la participation d'un nombre d'habitants de la localité, des parents et des amis, et s'achève par une zaffé traditionnelle où des jeunes battent la derbaké et le tambour. Ce fut le cas pour Bassel Sleiman Frangié et Marianne...

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