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Liban

Brèves politique

Le député Antoine Zahra au cours de son interview télévisée.

Zahra : Pas de retour à la loi électorale 1960

Le député des Forces libanaises, Antoine Zahra, a affirmé hier qu'il n'y aura pas de retour à la loi électorale 1960, notant que des débats positifs étaient en cours avec le Courant patriotique libre sur un mode de scrutin mixte.
Lors d'une interview télévisée, le député a révélé que le Premier ministre, Tammam Salam, avait l'intention de convoquer le Conseil des ministres, la semaine prochaine. Il a dans le même contexte évoqué la position du CPL qui tient, selon lui, à boycotter la séance en question.
« Nul n'est en faveur de la vacance au commandement de l'armée. Et si le gouvernement ne parvient pas à une solution, ce sera au ministre de la Défense, Samir Mokbel, de trancher la question », a-t-il déclaré.
Le député a en outre affirmé que l'Arabie saoudite n'avait jamais opposé son veto contre un candidat à la présidence, même si le pays préférait un candidat à un autre. Il a par contre estimé que le Hezbollah continue de clamer son obédience iranienne, estimant qu'il n'y aura pas de président dans un futur proche, puisqu'il n'y a pas encore eu de changements au niveau des positions des différentes parties.

Bazzi : La lutte contre le terrorisme nécessite une plus grande sagesse politique

Le député du bloc parlementaire du Développement et de la Libération, Ali Bazzi, a jugé hier « qu'affronter les terroristes nécessitait davantage de sagesse politique ». Le député, qui se prononçait lors d'une cérémonie à Bint-Jbeil, au Liban-Sud, a salué les exploits réalisés par les forces de l'ordre dans leur lutte contre le terrorisme, évoquant le récent exploit des services de renseignements de l'armée, après l'arrestation du terroriste Imad Yassine.
Selon le député, « la réussite des forces de sécurité libanaises dans le démantèlement des cellules terroristes prouve que le Liban était dans la ligne de mire de ces groupes ». « Ceci nécessite davantage de sagesse politique et de remise en question du discours politique pour qu'il soit à la hauteur des périls qui menacent le pays sur les plans politique, économique et sécuritaire », a-t-il assuré.

Bassil : Les Libanais à l'avant-garde de la lutte antiterrorisme

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, en tournée aux États-Unis, a indiqué que « les Libanais sont confrontés à plusieurs défis, notamment celui du terrorisme, et qu'ils l'affrontent par la tolérance et le pluralisme ».
Le ministre, qui se prononçait lors du dîner annuel organisé par l'église maronite Saint-Georges, à San Antonio au Texas, a rappelé que « le Liban constituait un pont entre l'Occident et l'Orient, entre l'islam et le christianisme ». « Le Liban est un pays où vivent ensemble les musulmans et les chrétiens, selon les règles de la parité, par le biais de la culture des Libanais qui leur permet de coexister », a-t-il affirmé.
M. Bassil a plus tard noté que « les Libanais étaient à l'avant-garde de la bataille contre le terrorisme ». « C'est pour cette raison que notre résistance est importante », a-t-il conclu.

Moussa : Le Parlement est prêt à débattre du projet de budget

Le député Michel Moussa a affirmé hier, lors d'une interview accordée à la Voix du Liban, que « le Parlement était prêt à débattre du projet de budget et à l'approuver, dès qu'il recevra le texte établi par le Conseil des ministres ». Le député a confirmé que « toutes les parties communiquaient entre elles, pour assurer la tenue des séances et afin de débattre des lois urgentes ».
Il a toutefois estimé qu' « il n'y avait aucun signe sur un changement important dans la conjoncture locale, notant que le retour au dialogue était tributaire des positions des participants au dialogue ».

Zasypkine : Les réfugiés syriens ne seront pas implantés au Liban

« Il n'y aura certainement pas d'implantation des réfugiés syriens au Liban », a déclaré hier l'ambassadeur de Russie, Alexandre Zasypkine, lors d'une interview à la radio. Le diplomate a estimé que la « présence des réfugiés syriens constitue désormais une vraie menace pour le pays, d'autant qu'il est probable que les jeunes soient utilisés pour commettre des attentats terroristes ».
« Le dossier des réfugiés devrait occuper une place importante sur l'agenda du compromis politique en Syrie », a conclu le diplomate.

Tohmé appelle le CPL à tendre la main aux autres parties

Le député Nidal Tohmé a félicité hier l'Arabie saoudite à l'occasion de la fête nationale du royaume et a salué son « rôle important dans la lutte contre l'implication des jeunes dans des organisations terroristes ».
Par ailleurs, le député s'est attardé sur le mouvement populaire prévu par le Courant patriotique libre. « Nous demandons au général Michel Aoun de s'abstenir de profiter de la commémoration du 13 octobre pour régler des comptes politiques intérieurs », a lancé le député. « D'une part, l'occasion nécessite une méditation et une remise en question du parcours politique et historique et d'une autre part, de rendre hommage aux martyrs », a dit M. Tohmé. Et de poursuivre : « Le CPL devrait saisir cette occasion pour tendre la main aux autres parties afin de relancer le fonctionnement du gouvernement et trouver une solution pour sortir de la crise nationale. »

Baroud : La stabilité de la vie politique passe par une loi électorale stable

L'ancien ministre Ziyad Baroud a insisté sur « la nécessité de tenir les élections législatives en 2017, pour échapper à une troisième prorogation du mandat du Parlement actuel ».
Lors d'une rencontre organisée à Harissa, sur le thème « Une lecture simplifiée des lois électorales complexes », M. Baroud a précisé que « les responsables pourraient renoncer à l'adoption de la loi proportionnelle suite au succès récolté par Beyrouth Madinati lors des dernières élections municipales ». « La loi proportionnelle n'est pas une solution complète et finale à tous les problèmes. La lutte contre la corruption ne se fait pas uniquement à travers l'adoption de cette loi, parce qu'elle n'empêcherait pas des corrompus à accéder au pouvoir », a affirmé l'ancien ministre.
« C'est aux citoyens, aux organismes de la société civile et aux médias de lutter pour la réforme des lois électorales et des procédés électoraux qui l'accompagnent », a lancé M. Baroud. Et de conclure : « La garantie de la stabilité de la vie politique serait une loi électorale stable, qui ne soit pas modifiée à la veille de chaque élection. »

Yazigi lance un appel à la paix depuis la Roumanie

Le patriarche orthodoxe d'Antioche, Youhanna X Yazigi, a présidé une délégation officielle qui s'est rendue en Roumanie. « Nous sommes à cet endroit aujourd'hui pour lancer un appel à la paix au Moyen-Orient, et plus spécifiquement en Syrie », a déclaré le patriarche. « Nous avons l'impression que les droits de l'homme se trouvent façonnés suivant les intérêts des responsables. Nous prions pour la Syrie et le Liban, pour la stabilité de ce dernier pays qui paie le prix de la violence », a-t-il dit.

Zahra : Pas de retour à la loi électorale 1960
Le député des Forces libanaises, Antoine Zahra, a affirmé hier qu'il n'y aura pas de retour à la loi électorale 1960, notant que des débats positifs étaient en cours avec le Courant patriotique libre sur un mode de scrutin mixte.Lors d'une interview télévisée, le député a révélé que le Premier ministre, Tammam Salam, avait...

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