Quelqu’un m’a dit...

Un peu moins d'un siècle...
Avec ce sourire contagieux qui vous donne envie de le prendre dans vos bras, Hassan Rifaï a soufflé ses 93 bougies au restaurant Burgundy. « Disons plutôt mes 34 ans », a-t-il fait observer, mutin, en allusion à la tentative de son assassinat, le 22 août 1982. Une nouvelle vie pour l'expert en droit constitutionnel et ancien ministre et député, dont les Mémoires sont en cours de préparation. Entouré de son fils Hassane et des journalistes Michel Hajji Georgiou, Sandra Noujeim, Joseph Bassil, Hussein el-Wajeh et Ahmad Ayache, le Dr Hassan Rifaï affirme en toute sérénité ne rien regretter dans sa vie. Sauf « les grands hommes de ce pays, comme Raymond Eddé, Albert Moukheiber, ou encore Saëb Salam ». Et, naturellement, le respect de la Constitution, qui s'est quelque peu perdu avec le départ de ces grands... Sinon, « tant qu'on aime la vie, tant qu'on sait traiter et communiquer avec les autres, tout va bien ».
Le gâteau d'anniversaire spécialement concocté pour lui au Burgundy – un mille-feuille très fin aux fraises – figurera bientôt sur la carte des desserts en hommage à ce maestro, a promis Ziyad Moawad, le gérant du restaurant.

La Mountain Station de Rafa et Hiba
Pour la troisième année consécutive, Trainstation Studio va à la conquête du sommet ! Les deux sœurs, Rafa Chaptini et Hiba Safieddine ont pris leurs quartiers d'été à Faqra, en coopération avec The Cloud spa de Terre Brune. Une aubaine pour les accros du fitness à la recherche d'un programme complet de bien-être et de remise en forme. De l'aquagym au boot-camp, en passant par l'escalade à Chabrouh ou encore les cours de gym, chacun a trouvé son compte. Mais le clou de ce programme était sans nul doute les cours de yoga dispensés par la célèbre Dee el-Najjar, qui a délaissé cet été son studio de Londres pour rejoindre ses adeptes, dont Yoanna Baladi, Myrna Bardawil, Ingrid Raad, Haifa Arakji, Manal Hakim, Rania Fakhry, Manal Lahoud et Céline Abou Ghazalé. Même Georges Abboud s'est prêté à l'exercice.
Avant de se donner rendez-vous pour l'année prochaine, tout ce beau monde a clôturé son parcours fitness par deux stations incontournables, le massage et une virée shopping, comprenant une pléiade de tenues de sport de la marque anglaise HPE (Human Performance Engineering). Un vêtement antitranspirant et antiallergique, en vente exclusivement à Trainstation Achrafieh, rue Sélim Bustros.

Twist and Shout à Faqra
Déjeuner et danser, c'est devenu un mode de vie qui affole Faqra. Pour divertir leurs invités, les (maîtres) hôtes en font une véritable fête avec chanteurs, groupes ou animateur DJ. Simple rituel annuel, le déjeuner dansant de Maha et de Talal el-Chaër a rassemblé près de 300 invités, qui après un repas savouré à l'air libre n'ont pas résisté au jonglage des rythmes du disc-jockey. Il a suffi qu'il diffuse un air des Beatles pour que la magie opère. Des plus âgés aux plus jeunes, tout le monde (ou presque) y a mis du sien pour voltiger sur le gazon. Et s'il fallait désigner le meilleur danseur de ce jour-là, ce serait sans aucun doute Bob Wehbé !
Parmi les présents, la députée Sethrida Geagea, Michèle et Nicolas Gharzouzi, Maroun Hélou, Zaza et Philippe Jabre, Liza et Charles Abou Adal, Michèle et Mazen Richani, Asma et Fayez Rasamny, Joëlle Chidiac, Dany Karam, Aline et Bassam Nassar, Joe Achkar et Michel Charrière, Samir Taleb, Gracinda et Bachir Mallas, Danièle et Farid Chéhab, Michel Mecattaf, Wafa Saab, Fadi Abboud, Joseph Jabra, Nehmat Frem, Chérine et Karim Ammache, Salim Bocti, Sandy et Robert Tarazi, Tania et Malek Abi Nader, Karim Sarkis, Siham et Jacques Sehnaoui, Carine et Bernard Saghbini, Wafa et Habib Husni, Wajdi Abou Hamza, pour ne citer que quelques-uns.

Faqra toujours. Deux orchestres. Deux chanteuses. Cinq cents couverts et une flottille de petites barques de pêcheur peintes en blanc et mauve ont investi le jardin de May et de Fouad Makhzoumi. Nostalgie de bord de mer ? Nous n'avons aucune réponse à la question. La villa bruissait comme une ruche. Il y avait le Dr Youssef Comair, Mona et Marwan Iskandar, Nabil Jisr (sans Sandra, en voyage), Carine et Fadi Saab, Zeina et Nehmat Frem, le député Khaled Kabbani, l'ancien ministre Mohammad Khalifé, Samir Hammoud, Walid Menassa, Loutfi el-Zein, Roger Nasnas, Pierre Achkar, Fadi Fawaz, Roger Melki, accompagnés de leurs épouses, ainsi que les ambassadeurs du Maroc et du Mexique.

La Lederhose au Clos...
L'autre soir, c'était la cavalcade vers Le Clos de Faqra, qui a revêtu un tuxedo de mille feux pour célébrer le mariage de la ravissante Laura Carlo Ayoub et de Marwan Sélim Dahdah. Au milieu d'un océan de fleurs et de bulles qui pétillaient, le marié et une vingtaine de ses amis avaient adopté les chaussettes hautes et la Lederhose appelée « culotte bavaroise » ou « short tyrolien ». L'ambiance était géniale. Seul comptait le plaisir de la fête. Et la tendresse. Présents, les tribus Ayoub, Sirji et Dahdah au grand complet, ainsi que Gloria et Walid el-Khazen, Maya et Tarek Zard, Marc Tabet, Alexandra Jabre, Mira et Ralph Massoud, Tarek Germanos, et le couple Valaya Chahine et Marc Nicolas Nahas, tout récemment mariés.

Les Kataëb font la fête...
Loin du stress quotidien de la politique, le bureau politique des Kataëb a fait la nouba à l'hôtel al-Bustan, à Beit-Méry. Tous étaient là pour célébrer en musique le mariage du secrétaire général adjoint du parti, Patrick Richa, avec l'adorable Tatiana Hosny, notamment le chef du parti, Samy Gemayel, les deux vice-présidents Joseph Abou Khalil et Sélim Sayegh, ainsi que les députés Élie Marouni, Fady el-Habre – mais aussi les compagnons de route de Patrick : Albert Kostanian (et son épouse Maguy), Joy Homsi, Serge Dagher, Jean-Pierre Katrib, Amine Assouad, Wassim Jabre, Waldemar Faddoul, Édouard Chamoun, Gilbert Rizk et d'autres encore. Sans oublier la foule de parents et d'amis, parmi lesquels nos collègues Sandra Noujeim et Michel Hajji Georgiou. Nadim Gemayel est rapidement passé vers 22 heures pour souhaiter aux mariés tout le bonheur du monde.

Points forts du mariage. En sortant de la petite chapelle de l'hôtel, les mariés ont gagné le jardin à travers une haie d'honneur formée par les compagnons de Patrick, sous le salut partisan et les vifs applaudissements des invités.
Trois orchestres variétés et pop-rock se sont relayés pour animer une soirée à 100 % festive. Croonant les Pussycat Dolls, le marié a chanté « You only tell me, Perhaps, Perhaps »... C'est toutefois la chanson « Yalla Jennou, Jennou » qui a affolé littéralement autant les invités que les mariés. Jeunes et moins jeunes se sont levés comme un seul homme, emportés sur la piste, allumant un feu carnavalesque et transformant le dîner en la plus dingue des big parties.

Grand moment d'émotion aussi lorsque Patrick a trinqué à la mémoire de son père, Antoine Richa, ancien vice-président du parti, et à celle de son compagnon de route, Élie Yazbeck, emporté il y a quelques mois par une attaque cardiaque.

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