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Liban - crise

Bassil à « L’OLJ » : Aoun répond à la définition du président consensuel

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a brisé le gel qui enserrait la course présidentielle, mardi dernier, lorsqu'il a lancé que le Courant patriotique libre (CPL), le parti qu'il préside, n'accepterait qu'un président consensuel. « Il s'agit de la seule solution. Nous ne pourrons accepter n'importe quel président. Seul un président consensuel est acceptable. Nous ne nous tenons pas à la personne même du général Michel Aoun. Nous sommes prêts à accepter n'importe quelle option qui provienne du peuple », indique M. Bassil.

Interrogé par L'Orient-Le Jour sur la définition du « président consensuel », le chef de la diplomatie répond : « C'est le président qui représente la composante dont il est issu et qui bénéficie d'une légitimité populaire lui octroyant la force nécessaire pour réaliser le partenariat qui découle du pacte à l'échelle nationale. » Pour M. Bassil, il est évident que le général Aoun réponde à cette définition, puisqu'il est « un leader national qui dispose d'une base populaire à l'échelle du territoire national ». Il est également « le leader maronite le plus populaire et le plus représentatif à la Chambre des députés, avec un bloc parlementaire de 26 députés, après Saad Hariri (28 députés), ajoute M. Bassil. Sleiman Frangié, le leader des Marada, son rival actuel, ne dispose ni de la même popularité ni de la même représentation au Parlement ».

Mais que compte faire le CPL si l'opposition à la candidature du général Aoun se poursuit ? Rabieh préfère maintenir le secret sur ses prochaines démarches visant à soutenir l'option Aoun, même s'il est question, entre autres, d'un éventuel recours à la rue pour accélérer l'élection de l'homme le plus représentatif parmi les maronites, puisqu'il compte désormais aussi à son actif l'appui des Forces libanaises de Samir Geagea...
L'objectif d'un tel « coup de force » dans la rue serait de sortir du cercle vicieux imposé par la candidature rivale à celle de M. Aoun, en l'occurrence celle de M. Frangié, d'autant que les voix se sont multipliées ces derniers jours en faveur de l'élection d'un président de la République préalablement à toute négociation éventuelle d'un package deal politique à la table du dialogue.

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a brisé le gel qui enserrait la course présidentielle, mardi dernier, lorsqu'il a lancé que le Courant patriotique libre (CPL), le parti qu'il préside, n'accepterait qu'un président consensuel. « Il s'agit de la seule solution. Nous ne pourrons accepter n'importe quel président. Seul un président consensuel est acceptable. Nous ne...

commentaires (2)

LE GENERALISSIME... QUI N,EST PLUS PARAVENTISSIME... CAR IL SAIT... A LA PRESIDENCE POUR UNE ACCALMIE DE PEUT-ETRE SIX ANS... MAIS IL EST LOIN D,ETRE CONSENSUEL CAR BEAUCOUP DE LIBANAIS LE REFUSENT ENCORE... ET LES AUTRES QUI S,EN USAIENT N,ONT PLUS CONFIANCE EN LUI !

LA LIBRE EXPRESSION

18 h 36, le 11 août 2016

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Commentaires (2)

  • LE GENERALISSIME... QUI N,EST PLUS PARAVENTISSIME... CAR IL SAIT... A LA PRESIDENCE POUR UNE ACCALMIE DE PEUT-ETRE SIX ANS... MAIS IL EST LOIN D,ETRE CONSENSUEL CAR BEAUCOUP DE LIBANAIS LE REFUSENT ENCORE... ET LES AUTRES QUI S,EN USAIENT N,ONT PLUS CONFIANCE EN LUI !

    LA LIBRE EXPRESSION

    18 h 36, le 11 août 2016

  • Et je dirai même plus. Le définition d'un phare Aoun qui éclairera de sa vision la politique de résistance affirmée et définitive sur les forces de la corruption du passé de la collaboration idiote. Oufffffffffffff. .....

    FRIK-A-FRAK

    15 h 58, le 11 août 2016

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