Dans une déclaration à la Voix du Liban 100.5, le député Ziad Assouad, membre du bloc parlementaire aouniste, a estimé que « les événements au Liban montrent que le pouvoir a perdu sa capacité de contrôler le terrain ».
Après avoir constaté que « ce n’est pas la première fois que l’armée est prise pour cible », il a estimé que cela est dû au fait que « le rôle de l’institution militaire a été court-circuité pour que la voie reste ainsi libre devant les fauteurs de troubles ».
Et d’ajouter : « Nous avons perdu la capacité d’édifier un État capable d’imposer son autorité sur le terrain en raison de l’absence de décisions. La classe politique et les services de sécurité sont impuissants en raison des divisions politiques. »
Il a ensuite fait état de « pressions exercées sur le Liban qui a besoin de gens sans connexions étrangères, capables de frapper du poing sur la table ».
Après avoir constaté que « ce n’est pas la première fois que l’armée est prise pour cible », il a estimé que cela est dû au fait que « le rôle de l’institution militaire a été court-circuité pour que la voie reste ainsi libre devant les fauteurs de troubles ».
Et d’ajouter : « Nous avons perdu la capacité d’édifier un État capable d’imposer son autorité sur le terrain en raison de l’absence de décisions. La classe politique et les services de sécurité sont impuissants en raison des divisions politiques. »
Il a ensuite fait état de « pressions exercées sur le Liban qui a besoin de gens sans connexions étrangères, capables de frapper du poing sur la table ».
Dans une déclaration à la Voix du Liban 100.5, le député Ziad Assouad, membre du bloc parlementaire aouniste, a estimé que « les événements au Liban montrent que le pouvoir a perdu sa capacité de contrôler le terrain ».Après avoir constaté que « ce n’est pas la première fois que l’armée est prise pour cible », il a estimé que cela est dû au fait que « le rôle de...
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