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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Night fever pour Toufic

Pour souffler ses 49 bougies il n’en fallait pas moins qu’une superparty pour Toufic el-Zein qui a privatisé le Art Lounge (Quarantaine) et réuni tous les ingrédients pour noyer dans un flot de cocktails et de musique ses 170 convives. Gaby Daher, Jacquot Ayoub, Serge Brunst, Maya Tannous, Pierre et Claude Issa, Roland et Dima Hraoui, Rana Salam, Rami Boutros, Zeina Meskaoui, Youssef Tohmé, Issam et Lara Tannouri, Andrée Haddad, Mazen et Sara Hakim, Hassan Ramadan, Maria Hibri, Marwan et Zeina Chamaa, Manal Khodr, Nabih et Manal Haddad, Karim et Hania Mroué, Rima Husseini, Maguy Monsef Dalloul, Tarek Hourani, Fadi et May Chéhab, Léna Bakalian, Sophia Fakhry, Dina Kamal, Reem Koraytem, Nevine Imad, Karam et Joumana Atallah et tant d’autres se sont laissés enivrer par le dynamisme de Richie (DJ du Momo’s et Behind the Green Door), qui a enchaîné une play-list de grands tubes en vogue et rétro, replongeant le temps d’une nuit les invités dans la folie des 80’s, la décennie la plus flashy du siècle dernier. Six danseuses professionnelles en tenue sexy voltigeaient sur les podiums, dont l’un fut pris d’assaut par le duo Reem Chalabi – Serge Macaron, qui ont assuré un show dingue style « Crazy Horse ». Et pour faire le plein d’énergie, un entracte gourmand autour d’une variété de pâtes fraîches, de salades et de desserts, préparés par Paul Khouri (Le Chaudron). À deux heures du matin, il était enfin temps d’aller se reposer... Sauf qu’un petit groupe de fêtards a décidé de faire la tournée des grands-ducs (Life Bar, Milk, Ghost...) qui s’est terminée à l’aube dans le loft de Toufic par un gargantuesque petit déjeuner... bien mérité.

L’amour fou...

Sourire radieux, le cœur battant plus vite que la normale, Alissar Caracalla laisse éclater son bonheur au grand jour. Et sur Facebook. Elle vient de convoler en justes noces avec Naël Farid Chéhab, diplômé en ingénierie aéronautique de l’Université de Manchester. Les mariés se sont dit oui à Nicosie, entourés de Farid et Danièle Chéhab, de Honeiné Caracalla et de leurs témoins, Rana Andraos (pour lui), Yvan Caracalla (pour elle). Le soir même, de retour à Beyrouth, un dîner intime a réuni chez les Chéhab les deux familles et les amis proches dont Nada Abi Saleh, Labib Gholmieh, Béchara Audi et Junior Dakak. Mabrouk.

Un franc-tireur dans la salle

Entre désarroi et stupéfaction, et comme si le ciel lui était tombé sur la tête, l’assistance – présente à la remise des insignes du grade de Chevalier dans l’ordre des Palmes académiques à Nicole Hadaya par le conseiller culturel français, Aurélien Lechevalier – a vu surgir dans la salle un bad boy (Serge Gélalian) qui s’en est pris mordicus à la langue de Molière, « dépassée » et « supplantée » par l’anglais. Il a fallu un petit moment aux recteurs Sélim Abou et René Chamussy, au R.P. Sion, au doyen Jarjoura Herdane et aux professeurs de la faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Saint-Joseph, ainsi qu’aux nombreux collègues et amis de Nicole, notamment Raymonde Abou, Andrée Daouk (présidente de l’AMOPA), Rima Hammoud, Mariette Abi Chaker et ses enfants, sans oublier son frère Fathi Hadaya, pour se rendre compte que cette horrible intervention a été réglée de connivence avec Nicole, qui, interrompant le snipper, a rendu un vibrant hommage à la culture française. Sous un tonnerre d’applaudissements.

Brrr ça fait froid dans le dos !

Dominique Eddé exulte. Les éloges pleuvent depuis la sortie de son livre Kamal Jann, édition Albin Michel. Les critiques sont conquis et Le Monde des Livres lui consacre trois articles, dont celui d’Alexis Jenni, prix Goncourt 2011, qui écrit : De tels romans agrandissent ce que je sais.
Parfaitement bien campés, à la psychologie fouillée, les personnages semblent sortir tout droit de l’actualité proche-orientale pour raconter les explosions de cruautés, les vengeances et les tensions constamment attisées. Un vrai roman d’espionnage qui vous tient en haleine du début jusqu’à la fin. À quand une adaptation cinématographique ?

Projection sur Perle

Un demi-siècle d’appartenance à un groupe, ça se fête. Les boss, Antoine et Robert, César, Ziad et Jad Debbas, ainsi que la grande équipe des « frères Lumières » se sont retrouvés pour trinquer à la santé de Perle Gay-Para qui célébrait ses cinquante ans au sein des établissements. Après un drink-cocktail agrémenté d’anecdotes, de multiples souvenirs et de franches rigolades, Perle a reçu une plaque (dorée) souvenir pour services rendus. Son époux Roger Gay-Para n’était pas en reste : il a eu droit à l’album « Photographies de Beyrouth (1840 – 1918) » de Fouad Debbas.

ditavonbliss@hotmail.com
Night fever pour TouficPour souffler ses 49 bougies il n’en fallait pas moins qu’une superparty pour Toufic el-Zein qui a privatisé le Art Lounge (Quarantaine) et réuni tous les ingrédients pour noyer dans un flot de cocktails et de musique ses 170 convives. Gaby Daher, Jacquot Ayoub, Serge Brunst, Maya Tannous, Pierre et Claude Issa, Roland et Dima Hraoui, Rana Salam, Rami Boutros, Zeina...

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