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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

La very liesse de Tom !

Il y en avait un qui était aussi heureux que Kate et William! Et c’est l’ambassadeur du Royaume-Uni au Liban. Tom Fletcher himself ! Se délectant de l’arrivée en fanfare de S.A.R. George of Cambridge, il a noyé les clients du CityCenter sous des sachets en tissu contenant des bonbons et des meghlés, et des badges Royal Baby aux couleurs de l’Union Jack.
Le lendemain soir, jouant les prolongations, Tom et son épouse Louise, fraîchement intronisée docteur en pédopsychologie, organisaient dans leur home à Yarzé A special dinner for positive people in Lebanon. Rien qu’à l’intitulé de l’invitation, on devinait déjà (et attendait impatiemment) l’ambiance : indeed very joyeuse avec une poignée d’amis qui respiraient la joie de vivre et un menu particulièrement inventif créé par Reem Azouri et labellisé Meat the Fish. Au dessert, des douceurs orientales, encore du meghlé, des petits cadeaux de naissance, et un Ave Maria chanté a capella par Tania Kassis, qui a offert à tous les présents le DVD de sa dernière performance à l’Olympia.
Autour de la table, Pierre Doumit, Mike et Roula Karam, Karim Rasamny, Karim et Haïfa Arakji, Sami Ghosn (monsieur Massaya), Roger Moukarzel, Cynthia Sarkis-Perros, Patrick et Noha Baz, et la toute nouvelle directrice du British Council Eunice Obe, etc. Reste un mauvais point pour Tom Fletcher : il a oublié de mettre en ligne une e-card permettant aux internautes libanais de saluer à leur manière la venue du royal baby !
Nobody’s perfect...

Le chevalier à Saint-Tropez

Il ne chôme pas Rabih Kayrouz. Son carnet de commandes déborde et son agenda mondain ne désemplit pas. Entre Beyrouth, Paris et Saint-Tropez où il s’est fait une place au soleil, le petit prince des ciseaux est happé dans un tsunami étourdissant. Les dîners donnés en son honneur pour célébrer son nouveau titre de chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres se suivent mais ne se ressemblent pas. Impeccablement nickel était le dernier en date, offert par ses amis Thérèse, Serge et Cyril Karaoglan, dans leur sweet home, le château Borelli, ouvert sur la fameuse baie des Canoubiers. Ils avaient réuni autour d’un somptueux repas de plusieurs services, arrosé de nombreuses bouteilles de grands crus, une soixantaine de beautiful people. Par exemple, Ségolène Gallienne, la fille d’Albert Frère, le puissant homme d’affaires belge, qui est loin d’être une héritière à la Paris Hilton et qui siège au conseil d’administration de Dior. Mais aussi l’industriel François Lafon et Myriam, figures incontournables de Saint-Tropez ; Jacqueline Veyssière, reine flamboyante des nuits tropéziennes, qui avait dirigé la célébrissime boîte du Byblos, Les Caves du Roy; Pauline Jalil arborant une sublime robe lamée signée Rabih Kayrouz en personne ; Bassam et Reem Debs, Hala Talhamé, Joy Hendricks et d’autres qui s’étaient lancés sans hésiter sur la piste de danse, faisant swinguer robes à paillettes et costumes-cravates dès que le DJ a fait jouer ses musiques...

La charlotte de Niklas

Notre toque blanche Nicolas Audi et Niklas Kebbon, le très cool ambassadeur de Suède au Liban, se disputent les fourneaux. Sur le papier, le duel est particulièrement inégal, mais Niklas tient à s’imposer comme un maître-restaurateur. Alors, indulgent, Nicolas a laissé faire : après tout, Niklas était le maître de céans. Ainsi, aux plats succulents du chef Audi est venu s’ajouter le saumon mariné façon Gravlax mitonné par Son Excellence le diplomate... Et pour le dessert, ce fut une charlotte aux airelles également réalisée par Niklas ! L’occasion? Le dîner d’adieu organisé par l’ambassadeur de Suède et sa charmante épouse libanaise, Danièle Ghorayeb, en l’honneur de l’ambassadeur du Danemark Jan-Top Christensen et son épouse Kieu-Phong qui quittent le Liban pour l’Arabie saoudite. Ils avaient réuni autour du couple danois un nombre d’amis, notamment Homer Mavromatis (Chypre), Inan Oyildiz (Turquie), Gerda de Boer Van Dam (Hollande), l’ambassadeur de Finlande, Noha Baz, Georges et Gloria Siam, etc. À l’honneur ce soir-là, les festivals d’été libanais (Beiteddine a été plébiscité), la littérature nordique (Stirg Larson et Camilla Laekberg en tête), les lieux de vacances et le climat général de la région ! Une vraie salade russe comme on les aime.

Chasseur de voix d’or

Le Monde a consacré un long article à Kamal Karim Kassar. Cet homme d’affaires libanais installé à Dubaï, à la tête d’une société spécialisée dans les équipements pétroliers, est le plus grand aficionado de musique classique arabe. Sa collection qui couvre une période allant de 1903 à 1930 compte quelque 7 000 disques (78-tours) et des centaines d’heures d’enregistrements sur bandes magnétiques, pour Mounira Mahdia, Ali al-Qasabji, Abdel Rahim al-Masloub, Youssef al-Manilawi, Mohammad Othman, et beaucoup d’autres noms désormais absents de la mémoire. Pour familiariser la nouvelle génération à l’héritage musical, Karim Kassar a créé la Fondation pour la musique arabe et la recherche (AMAR) qui a déjà numérisé 20 % du fonds. Un premier coffret, consacré au chanteur égyptien Abd al-Hayy Hilmi (1857-1912), sort en France (chez L’Autre Distribution). D’autres compilations suivront, dont une comporte des enregistrements de chansons libanaises, syriennes et palestiniennes du début du XXe siècle. Mais comme tout collectionneur, Kassar n’est jamais satisfait... Sa chasse au trésor continue.

ditavonbliss@hotmail.com
La very liesse de Tom ! Il y en avait un qui était aussi heureux que Kate et William! Et c’est l’ambassadeur du Royaume-Uni au Liban. Tom Fletcher himself ! Se délectant de l’arrivée en fanfare de S.A.R. George of Cambridge, il a noyé les clients du CityCenter sous des sachets en tissu contenant des bonbons et des meghlés, et des badges Royal Baby aux couleurs de l’Union Jack. Le...

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